vendredi 28 mai 2010

Précisions limousines

Suite à mon précédent article, j'ai reçu un commentaire d'une personne anonyme... par conséquent, je vais imaginer que c'est quelqu'un que je ne connais pas.

Si mon message paraissait dévaloriser quelque peu la région de Limoges, ce n'était ABSOLUMENT pas mon intention. Nous avons bien fait la part des choses. J'ai ironisé sur notre séjour au plus près de la nature. Si nous ne voulions pas être dérangés par des petites bêtes, nous serions allés à l'hôtel. Et je n'étais pas vraiment inquiète par les éventuels effets radioactifs dont on parle. J'imagine que s'il y avait un quelconque danger, l'endroit ne serait pas ouvert au public.



Concernant cette photo (que j'ai fait parce que je trouvais ce nom rue plutôt joli), j'ai maintenant l'explication. Comme je sais que beaucoup de mes lecteurs et lectrices ne lisent pas les commentaires de mes visiteurs, je vous fait un copié-collé de cette explication :

"Pour la rue "monte à regret" elle s'appelle ainsi car c'était le chemin qu'empruntaient les condamnés à mort pour se faire exécuter sur le champ de foire. Sachant leur sort ils regrettaient leurs actes et montaient avec regret la rue vers leur destin tragique."

Pour le restaurant et l'usine de porcelaine, j'ai noté ces bonnes adresses et je ne manquerai pas de m'y rendre à la prochaine occasion.

Je vous les communique au cas où vous iriez vous aussi vous promener par là-bas :

"Le Geyracois, boulevard Georges Perrin au centre de Limoges : il est le spécialiste de la viande limousine.
Place d'aine un très bon restaurant "Le Versailles" une institution à Limoges ouvert tous les jours. Sinon l'amphitryon rue de la boucherie (je crois que certaines maisons à colombages sont photographiées dans cette rue).Très cher mais très bon....

Pour l'usine de porcelaine il y a l'incontournable Bernardeaud qui fait visiter son usine."

Merci beaucoup à mon lecteur anonyme pour ces informations. Encore une fois, loin de moi l'idée de dénigrer cette région, qui, je vous l'assure, vaut vraiment le détour.

mercredi 26 mai 2010

Week-ends en folie

Pour ne pas trop vous saouler, je vais vous raconter ces deux derniers week-end en images...

L'Homme a eu 41 ans.

Nous avons passé la journée à Sarlat, dans le Périgord pour les ignorants.

Après les sucreries du dessert, une petite balade pour digérer un peu.

Au détour d'un chemin, une princesse sarladaise...


... qui surveille la fin des travaux de la nouvelle déviation.

Après la balade, nous avons pu retrouver le chat de Papyot. Il est un peu à Papyot, mais aussi un peu aux voisins.


Il choisit sa maison au gré de ses envies, et aussi au gré des croquettes qu'on veut bien lui servir. Il y a bien quelqu'un qui a essayé de se l'approprier en lui imposant le port d'un collier... collier dont l'a rapidement délivré Papyot parce que s'il n'est pas vraiment à lui, il n'est pas vraiment aux autres non plus.

**************

Le week-end suivant, nous avons changé un peu de région et sommes allés dans le Limousin tous les 4, ainsi que Ma Pomme et quelques autres copains...
Et vous allez me demander ce qui nous a attiré dans cette région, superbe région soit dit en passant ?? Si, si, je suis sûre que vous allez me demander...



Une manifestation sportive : Les gendarmes et les voleurs de temps, à Ambazac (87).
La première édition en 2000 avait regroupé 1250 participants.
Pour cette 11ème édition, plus de 3000 sportifs étaient au départ de cette course de 32 km dans la nature. Et ce ne sont pas moins de 12000 personnes (participants, spectateurs, bénévoles et organisateurs) qui étaient là cette année.
J'ai été impressionné par le courage et la volonté de ces coureurs. Un groupe faisant preuve d'une solidarité hors norme a aidé un participant en fauteuil roulant à passer les endroits les plus escarpés et à parcourir les 32 km.


C'était très émouvant.

Et toutes ces femmes !!

C'était vraiment très bien. une organisation énorme, plusieurs autres épreuves sportives, des animations... et beaucoup beaucoup de monde.



Sur les 5 sportifs que nous accompagnions, mon Homme est arrivé le premier. Il est arrivé près de 400ème sur 3000 participants. 32 km, sous cette chaleur... Trop fière la meuf !!

Et après l'effort... repos dans un petit coin paradisiaque... au bord du lac de St Pardoux.

C'est un lac artificiel de 330 hectares, à une trentaine de kilomètres de Limoges, créé en 1975. Il a la réputation d'avoir un taux de radioactivité supérieur à la normale, du fait de l'extraction d'uranium à proximité, mais aussi par la simple présence de ce minerai à l'état naturel dans le sol de la région Limousin.
Bon, je ne suis pas rentrée avec un orteil de plus.
Tout va bien.


Nous avons passé ces 2 jours dans un camping près du lac. : le santrop.

Bon, il est ouvert depuis peu... et nous n'avons pas vraiment eu l'embarras du choix en ce qui concerne les animations quotidiennes.




On ne voit pas bien l'état de la piscine... mais je peux vous garantir qu'il fallait être sacrément motivé pour y tremper ne serait-ce qu'un orteil !

Nous avons dormi au plus près de la nature, dans une hutte.




Détente et grillades...




Quand je dis que nous étions proches de la nature, vous n'imaginez même pas à quel point.

Le coin est envahi de chenilles. Je ne sais pas vraiment de quel type de chenilles il s'agit, mais elles descendent le long de leur fil de soie en quantité impressionnante. Difficile de faire un pas sans en voir et sans se retrouver avec quelques bestioles dans les cheveux. Je peux vous assurer qu'il fallait éviter de partir aux sanitaires en courant, la bouche ouverte. C'était très risqué ! Je n'exagère absolument pas. Elles sont partout. Certaines ressemblent à ça :

C'est moche hein ?

Et dès la tombée de la nuit, les hannetons arrivent à leur tour.
Je pense que les fourmis et les hannetons et leurs larves sont à l'origine de l'état des arbres de la région. Certains sont très mal en point.
Je pense qu'on n'est pas loin de ce qu'on appelle un fléau.

***************

Nous ne pouvions pas partir sans faire un détour par Limoges.
Nous avons visité le marché immense de limoges... enfin les souks de Limoges ;-)




Nous avons mangé dans un restaurant dans le centre de Limoges, tout près de l'hôtel de ville. le "Bistrot du Boucher".

L'endroit idéal pour déguster de la bonne viande limousine.
Et nous avons très bien mangé... une bonne viande allemande...
Ben oui.
La prochaine fois, j'organise ma visite des environs avec Nath, pour être sûre de découvrir le vrai Limoges !

Nous avons terminé la visite dans un magasin d'usine de porcelaine... de Limoges, ben oui !
Fabuleux ! De la vaisselle splendide. Ça donne juste envie de tout changer dans sa maison !!

jeudi 20 mai 2010

C'est pas à moi que ça arriverait...


On a tous rêvé de gagner au loto.

Mais est-ce que ça vous est arrivé de rêver que vous trouviez un sac plein de billets de banque ?

Et ben dans le tram bordelais, c'est permis d'y croire.

Une femme va porter plainte et dit avoir été agressée dans le tram bordelais . Elle prétend qu'on lui a volé le sac en plastique qu'elle trimbalait... qui ne contenait pas moins de 35000 euros en liquide.
Un peu rocambolesque son histoire !
Et bien il va s'avérer que le coup du sac en plastique plein de billets, c'est vrai. Par contre, pas l'agression.
Elle finit par avouer qu'elle a tout simplement oublié le sac dans le tram...

Mais d'où venait cette somme ?
L'argent ne lui appartient pas. Il est le résultat de la vente de parts d'un bar en juin 2009. On lui a confié la somme pour qu'elle la laisse dans son coffre dans une banque. Il faut quand même avoir sacrément confiance.
Quelques mois plus tard, elle sort l'argent de la banque sans rien dire à personne et le cache chez elle.
Puis est arrivé le moment où le propriétaire des billets lui a fait savoir qu'elle veut le récupérer. Elle imagine alors un scénario un peu débile : elle va dans la banque, avec son sac en plastique déjà plein des précieux billets et fait mine de vider le coffre.
Ensuite, un peu tête en l'air, elle oublie le sac dans le tram.
Faut être sacrément con quand même !
Pour quelle raison toute cette mise en scène ?
Pour ne pas avouer qu'elle gardait les billets chez elle ? Peu probable.
Ou bien pour faire croire à une agression et à un vol et en profiter pour garder les billets ?
Mais ça, c'était sans compter sur son étourderie !

J'imagine que si je me baladais avec un sac plein de billets, je ne le quitterai pas des yeux.
Bien évidemment, quand le propriétaire de l'argent a compris que les billets n'avaient jamais été volés, il a porté plainte pour abus de confiance.

Et le sac en plastique, qu'est-il devenu ?
Sur les caméras de surveillance, on peut voir qu'il est resté 2 heures dans la rame, au milieu du va et vient des passagers, sans que personne n'y prête attention.
Et finalement, un homme s'est assis à côté.
Il a regardé à l'intérieur du sac une première fois.
Un peu étonné, il a regardé une seconde fois.
Carrément éberlué, il s'est frotté les yeux.
Il ne lui a fallu qu'un arrêt de plus pour prendre sa décision et pour descendre de la rame avec l'argent.

Et maintenant ?
Est-ce que le passager pris de remords va ramener l'argent ?
Ou comme personne ne peut prouver combien contenait vraiment le sac, est-ce qu'il va en ramener une partie seulement et se payer quelques vacances avec le reste ?

Quoi qu'il en soit, je pense que ce monsieur va se mettre au vélo... au moins le temps que l'histoire se tasse...

Vous pouvez lire l'histoire.

jeudi 13 mai 2010

Vocabulaire

Nous insistons beaucoup auprès de nos enfants pour qu'ils utilisent un vocabulaire approprié. C'est à dire pour qu'ils évitent de dire truc ou machin quand ils nous parlent de quelque chose.
Nous les obligeons (et parfois ça les agace un peu) à refaire leurs phrases avec les bons mots.
Du coup, ils sont toujours très fiers quand ils peuvent nous faire part d'un nouveau mot qu'ils ont appris. Par exemple, ma Brindille m'avait un peu surprise quand elle m'avait dit un jour : "oui, je sais maman, tu n'as pas le don d'ubiquité !"
C'était ce que disait sa maîtresse de l'époque quand elle était sollicitée de toute part.

Donc, cette semaine, mon pré-ado était fier de nous faire partager le nouveau mot qu'il avait appris dans la journée.
Très sérieusement et presque solennellement , il nous a dit qu'il connaissait maintenant le mot : "primautivé" !!

Vous avez compris qu'il s'agit en fait du mot "primauté".

Nous avons bien ri et du coup, je pense qu'il s'en souviendra de ce mot ;-)

Image extraite du blog "La classe deM'sieur"

Triste nouvelle

Hier un de mes collègues est décédé.
Il était très apprécié, très agréable, très souriant.
Il était en très bonne santé.
Il laisse derrière lui une épouse, deux enfants de 13 et 15 ans, une maman...

Une seule chose à tirer de cette triste histoire : cessons de nous prendre la tête pour des futilités et profitons chaque jour de la vie et des gens que nous aimons !!

lundi 10 mai 2010

Séance coiffure

Ce soir, c'était séance coiffure.
Ça me faisait super drôle de voir mes deux pré-ado assis devant leur miroir. Ils sont tellement grands, tellement ado... J'avais l'impression que ce n'était pas les miens. Mon garçon a expliqué ce qu'il voulait à la jolie coiffeuse. Il lui a raconté un peu sa vie... Quant à ma Brindille, elle est ressortie sa chevelure qui a tendance à boucler toute raide. Elle était aux anges. Dommage qu'elle n'ait pas une coiffeuse à domicile pour lui refaire la même chose chaque matin.

Et les deux coiffeuses ont super bien joué avec les produits annexes : ma Brindille se bat chaque jour avec ses petits frisottis. Et bien la dame elle a LE sérum miracle. Un pschitt chaque matin et adieu les vilains frisottis.
Et le garçon, pour être super bien coiffé, rien de tel qu'un peu de cire au Monoï pour mettre sa coiffure en forme. Et il a tendance à avoir des pellicules aussi alors il lui faut absolument LE shampoing anti-pelliculaire le mieux du monde. Pas besoin de l'utiliser à chaque shampoing, juste de temps en temps... et heureusement parce que quand tu vois le prix !!
Du coup, elles ont été tellement convaincantes les coiffeuses que ce sont mes enfants qui ont essayé de me faire acheter tout le magasin.

Bon, ensuite, pendant que je me faisais coiffer, mon garçon est allé tout seul s'acheter des chaussures. Ça aussi, ça m'a fait un peu drôle, mais il va falloir que je m'y fasse. Il m'a dit en me tournant le dos : "c'est bon maman, je n'ai pas besoin de toi."
Arggggggghhhhhhhhh !
Il n'a pas besoin de moi.
Quoi ????
Mais JE VEUX qu'il ait besoin de moi !

Pfffffffffffffffffffff....

En revanche, pour ce qui est de ma coiffure, je ne suis ABSOLUMENT pas satisfaite. Je dirais même que je déteste. La coiffeuse n'a rien écouté de ce que je lui ai expliqué et même montré. Elle n'en a fait qu'à sa tête alors qu'il s'agissait de la mienne. Résultat, je n'ai pas ce que je voulais, et vu tout ce qu'elle a désépaissi, il va falloir que j'attende au moins 3 mois pour arranger ma coupe.
Je suis furieuse.
Je me demande si je trouverai un jour un coiffeur qui parle la même langue que moi !

samedi 8 mai 2010

Des treets, du Pschitt... la Vie !


Aujourd'hui, je voudrais souhaiter la bienvenue dans le monde des blogueurs à Camille.


N'hésitez pas à aller vous promener chez elle. Elle a beaucoup beaucoup de choses à nous faire partager. Et son style est très agréable.


Longue vie à ton blog ma Camille...

mercredi 5 mai 2010

Symptômes

Je les connais ces symptômes...
Il me ramène quelques mois en arrière...
...

Des maladresses à répétition. Je n'arrive même pas à mettre du sucre dans mon fromage blanc sans le renverser...
Des étourderies : j'oublie d'aller chercher mes courses dans mon A-drive...
Des changements d'humeur soudains : Je chante à tue-tête et la minute suivante je hurle de rage.
Une susceptibilité incontrôlable : ne me dites pas que mon sac ressemble à un sac isotherme sinon je me mets à pleurer.
Une extrême fatigue et un herpès bien visible pour être sûr que tout le monde est au courant.

Voilà.
Ce sont les symptômes que j'avais rencontrés fin 2008, avant qu'on me découvre des problèmes d'hyperthyroïdie.
On ne m'a pas encore dit que j'étais hyper-speed et que je débitais 300 mots à la minute... enfin personne n'a remarqué que c'était pire que d'habitude ;-)

Et NON je ne veux pas que mes analyses soient pourries.
Et NON je ne veux pas reprendre ce traitement qui me fout le moral en vrac.
Et NON.

Je suis convaincue que c'est beaucoup dans la tête.
Mon médecin spécialiste de la thyroïde (ça s'appelle un endocrinologue pour les novices) m'a dit : "pas de contrariété, pas de stress". C'est pas facile !

Et pourtant, je me sens bien dans ma vie et mes baskets en ce moment.
Mon Homme est gentil avec moi. Pas très attentionné et pas très tendre, mais ça, ça ne fait pas partie de son vocabulaire de toute façon, mais gentil quand même... (même s'il trouve que mon sac à main ressemble à un sac isotherme).
Mes enfants se portent toujours aussi bien.
Mon boulot me plait toujours autant.
J'ai développé de nouvelles relations professionnelles dans un premier temps et qui rapidement se sont transformées en des relations amicales. Les échanges avec Mme Jambon notamment me font beaucoup de bien et comptent beaucoup pour moi. (Promis Mme Jambon, on va te trouver un nouveau surnom parce que le genre "grande saucisse" ne va pas avec ton physique de belle blonde).

Bref.
Ça va très bien dans ma vie.
Alors pourquoi je me détraque de l'intérieur ???
JE POSITIVE pourtant tout le temps comme une malade. Alors que dans quelques semaines je passe de l'autre côté... du côté des quarantenaires.
C'est quand même pas ça qui m'angoisse ??? Si ??

C'est pas un petit bout de glande de m... qui va décider du reste pour mon corps et pour mon moral !!!!

Non mais !

samedi 1 mai 2010

Les Nanas

Après avoir gardé mes deux petits neveux, j'ai passé 2 jours avec 3 nanas âgées d'une douzaine d'années... Autant vous dire que ça n'a rien à voir.
Déjà, forcément, elles sont beaucoup plus autonomes. Le langage n'est pas le même non plus. On entend des "j'avoue" à tout va.
"J'avoue" voulant dire "oui c'est vrai" et venant à tout bout de champ.
Il y a aussi le "trop pas", employé à la place de "pas du tout" je crois.
On a toujours encore un peu le "c'est gavé bien" ou "c'est gavé bon".
Bref, un langage d'ado.

Nous avons fait une journée de shopping. Je les ai laissées libres dans le centre commercial, avec bien sûr interdiction d'en sortir sans moi. Nous nous étions fixées des points de rencontre à des heures bien précises histoire de vérifier que tout allait bien.

Et bien sûr, tout s'est bien passé. Elles ont dépensé à peu près tout ce qu'elles avaient.

Elles ont aussi pu se rendre compte que rien n'est donné et que c'était parfois difficile d'avoir à faire des choix : ce tee-shirt ou celui-là parce qu'on ne peut pas se payer les deux ? Quel dilemne !
Après les achats, nous sommes allées voir "Alice au pays des merveilles" en 3D.
Ce n'est pas vraiment l'histoire d'Alice qu'on raconte aux petits enfants.
Alice a aujourd'hui 19 ans et elle retourne dans le monde fantastique, de longues années plus tard. Les personnages sont encore là : la Lapin Blanc bien sûr, mais aussi le chat qui sourit, la chenille bleu...


...et surtout le chapelier fou joué par un Johnny Depp méconnaissable, qui se retrouve avec les mêmes dents que Vanessa Paradis.


Et Alice aura pour mission de mettre fin au règne de la Reine Rouge...

...pour le bonheur de sa soeur, la reine blanche.

Et pour ça, elle devra combattre un méchant monstre.

Les décors sont très beaux, dans le style Tim Burton, quelque peu "assombri" et loufoque.


Le 3D est très sympa. On va finir par s'y habituer et ne plus avoir envie d'aller voir des films classiques.
L'histoire... bon. Rien d'exceptionnel. C'est divertissant.


Après le shopping, après le ciné, les filles ont chaussé leurs lunettes 3D et se sont pris pour des stars, dans la voiture tout d'abord, puis à la maison... et moi, je me suis pris pour une photographe.

Elles ont fait une razzia dans mon armoire pour m'emprunter des chaussures, les plus hautes possibles...
Et le soir, plus calmement, elles ont regardé un film, et puis un autre, et puis encore un autre... et puis elles ont refait le monde...
et puis elles ont fait un peu de bruit et du coup, vers 4h00 du matin, nous avons jugé qu'il était largement temps de dormir.

La deuxième journée a été plus calme.
Elles sont allées se promener après un réveil un peu difficile. Ma Brindille a ENCORE une fois soufflé ses bougies. Je crois que cette fois-ci, c'est terminé... jusqu'à l'année prochaine.