lundi 28 juin 2010

Un avant goût de vacances...

Un week-end comme un avant goût des vacances toutes proches...



Dès le deuxième jour, j'étais en rupture de biscuits.
Les deux pin-up ont donc décidé de prendre les choses en main et de préparer un bon goûter : les roses des sables.

La recette est là.

vendredi 25 juin 2010

L'Inconnu du Métro

Je voudrais vous parler d'un blog que je trouve assez exceptionnel.
Il s'agit de l'Inconnu du Métro.


A chaque nouvel article, Marie Dinkle nous présente une nouvelle personne qu'elle a croisée dans le métro.

J'admire son toupet, parce qu'il faut du toupet pour aborder les gens et leur demander s'ils acceptent d'être photographiés...

Ça m'arrive souvent de croiser des gens et d'avoir envie de les prendre en photos. Jamais je n'ose le faire.
C'est souvent le cas avec des enfants et ça n'a absolument rien de malsain. Je trouve les enfants beaux et tellement naturels !

Je suppose que souvent, elle doit se heurter à des refus. Les gens sont tellement méfiants et suspicieux. Et parfois, les gens acceptent non seulement d'être pris en photo mais aussi de raconter un petit bout de leur vie. On a l'impression de les connaître un peu.

J'aimerais beaucoup croiser Marie un jour et avoir l'honneur de faire partie de ces héros d'un jour.

mercredi 23 juin 2010

40 ans, suite et fin


Au départ, je prévoyais une soirée en plein air...



Finalement, ça s'est avéré super mal barré !!

Ça a fini en soirée à l'intérieur.

J'ai réuni une vingtaine de mes amis (et famille) pour fêter mes 40 ans.

J'avais préparé plein de gourmandises...


J'ai été très gâtée.... de jolies fleurs... pour les ignares, les fleurs roses sont des pivoines !



Et après avoir soufflé mes 40 bougies, j'ai ouvert mes paquets : bijoux, gentilles cartes et un super ordinateur portable... ordinateur sur lequel j'écris en ce moment.


J'ai passé une très bonne soirée, j'espère que mes invités aussi.

.....

Et après la fête, quand les invités sont partis... quand il ne reste que des verres vides, des plats vides... quand on a encore les oreilles qui bourdonnent des rires et de la musique...
quand la pièce semble tellement vide parce qu'on a poussé les meubles...
et ben c'est tout triste.

Voilà, c'est fini comme dit Jean-Louis Aubert.

J'ai 40 ans.

Il y a encore quelques jours, j'avais un sentiment bizarre...

Je me disais voilà : j'ai 40 ans, j'ai 2 beaux enfants qui entrent dans l'adolescence, j'ai un mari à fond dans sa carrière professionnelle, j'ai un job qui me plait et qui va évoluer gentiment, j'ai une jolie maison.

J'ai tout quoi !

Et maintenant ??

J'avais comme l'impression d'avoir tout et de devoir désormais vivre sur mes acquis.
C'est triste non ?
Certes, il faut entretenir tout ça, le faire vivre au mieux...

Ça ne me contentait pas.

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Et depuis quelques jours, j'ai à nouveau des projets qui arrivent dans ma vie, des projets dont je vous parlerai très bientôt.

...

...mais je peux déjà vous dire mon projet le plus proche : nous partons en Corse dans une dizaine de jours. Je vais rejoindre ma petite soeur et aussi essayer de passer quelques jours avec 2 de mes petits loulous de neveu et nièce. Ça va être trop sympa.
J'attends avec impatience mon guide du routard... pour commencer à saliver sur les superbes photos que je vais pouvoir faire !!

40 ans, le début d'autre chose...

vendredi 11 juin 2010

Sans regret !

Avant de subir les sautes d'humeur de ma thyroïde, je faisais de la danse, avec le même professeur que ma Brindille. Les galas annuels me faisaient toujours beaucoup stresser, mais j'étais toujours malgré tout ravie d'y participer. J'ai dansé un french-cancan, un charleston et tout un tas d'autres danses très sympa.



Depuis 2 ans, j'ai arrêté.

Ce soir j'ai assisté à la répétition de ma Brindille. Le gala a lieu demain soir.
Et j'ai vu la danse que vont faire les anciennes copines de mon groupe...



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Et bizarrement, cette année, je ne regrette pas de ne pas participer...



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Vous comprenez pourquoi ??

mercredi 9 juin 2010

Hospitalisation

L'Homme est hospitalisé depuis hier soir.
Une opération pour réparer un organe défectueux.
Un peu comme quand sur une voiture on répare ce que le contrôle technique a détecté de problématique.

Donc son contrôle technique a montré une malformation qu'il était indispensable de "réparer" avant que ça ne s'aggrave.

Il s'agit de toucher un organe important : le rein.

Et même si la chirurgie fait des choses formidables, ça n'en reste pas moins une opération qui est loin d'être anodine : 3 heures d'opération, 24 à 48 heures en soins continus (oui c'est comme qu'ils disent les médecins), 1 semaine au minimum d'hospitalisation, quelques semaines de convalescence...

Et hier soir, j'ai rencontré celui entre les mains de qui la vie de L'Homme est en ce moment même...

C'est un chirurgien d'une quarantaine d'année (le bel âge !), grand, mince avec des lunettes à foyers épais. Je me suis d'ailleurs demandée si dans les moments délicats, ses lunettes ne s'embuaient pas...

Il nous a décrit l'opération dans sa totalité : la version "si tout va bien" sous cœlioscopie. La version "si on ne peut pas faire autrement" et qu'il faut ouvrir !
Les désagréments au réveil et par la suite, les effets secondaires...

Il parle de cette intervention comme quand j'explique à un client les différentes étapes de l'instruction de son prêt. Certes, c'est toujours un moment important dans la vie des gens, notamment quand il s'agit de leur première acquisition. C'est un peu leur rêve que j'aide à réaliser... mais ce médecin parle lui d'organes vitaux, de la vie quoi !
C'est quand même autre chose.
Quand moi j'endette des personnes sur 25 ans, lui leur sauve la vie !

Ça m'a vraiment impressionnée. Je le regardais et je l'écoutais attentivement...
Hormis quand il perçoit son salaire (qui je vous l'accorde ne doit pas être le même que le mien), est-ce qu'il est conscient de l'importance de ce qu'il fait ?? On ne le dirait pas quand il parle de sa spécialité, et ça m'épate.

Ce soir, je suis passée au service des soins continus. Affublée de ma jolie blouse bleue, qui rappelait le bleu de mes yeux ;-) et avec mes jolis chaussons blancs, je suis allée lui rendre une toute petite visite. Je l'ai vu très affaibli, encore sous le coup de l'anesthésie. Il avait mal. La morphine ne le soulageait que très peu. Il avait des tuyaux qui sortaient de partout, y compris d'endroits où normalement il n'y a pas de trou !
Le plus dur est passé... enfin j'espère.


jeudi 3 juin 2010

Et voilà !

L'ÂGE OU L'ON DEVIENT CE QUE L'ON EST