samedi 29 novembre 2008

Méfiance et culpabilisation

- Maman, j'ai super mal au coccyx*.
- ...
- Ça fait un mois que j'ai mal mais je ne te l'ai pas dit à toi. Je l'ai dit à papa.
- Et tu as quoi comme cours en première heure ?
- gym !

Mon Minimoy a HORREUR de la gym. C'est un sport de filles. C'est nul de passer 2 heures à faire des galipettes...

- Tu vas y aller quand même et tu feras ce que tu peux.
- Je vais m'embêter à rester sur le bord pendant 2 heures parce que je ne pourrais RIEN faire. Et ce sera de TA faute.

Il est sorti prendre son bus en boudant, sans me dire au revoir.

Voilà comment il fait culpabiliser sa mère !
J'adore !

En fait, il est allé à la gym. Il a dit à son prof qu'il avait mal mais qu'il allait faire ce qu'il pourrait quand même. Et le prof a répondu : "C'est une très bonne attitude. Bravo." Et là, on dit surtout pas merci maman !!!

* merci Poupy pour l'orthographe de coccyx. Jamais je ne l'aurais écrit comme ça.

Et la Brindille, qui est partie ce matin avec ses petites chaussures toutes râpées sur le dessus, que toutes les autres mamans et toutes les maîtresses doivent penser que je suis une mère indigne et que je pourrais quand même lui acheter des chaussures neuves, voire des bottes fourrées par ce temps !!

Et le dernier look adopté par la Brindille, c'est une barrette qui tient 3 cheveux d'un côté, et une grosse mèche qui couvre l'œil de l'autre côté. J'ai horreur de ça. Je déteste quand elle me parle ne lui voir qu'un seul œil. Ça m'énerve et je suis systématiquement obligée de la couper avec un "sors tes cheveux de devant les yeux". Du coup, elle se vexe et ne termine jamais ce qu'elle était en train de me dire. C'est plus fort que moi. Même quand elle part bien coiffée le matin, les cheveux tirés, elle rentre le soir les cheveux dans les yeux parce qu'elle a viré chouchou et barrettes. Donc ce matin, elle me fait un bisou la mèche dans l'œil. Bien sûr je lui fais une remarque et bien sûr elle part en boudant.

Voilà comment elle fait culpabiliser sa mère !
J'adore !

Sinon, je crois que je suis parano.
Hier soir, j'étais en train de plier mon satané vélo pour le rentrer dans mon tout petit coffre (d'où le vélo pliant !), j'étais aussi en train de casser mon feu arrière, quand une femme s'est approchée de moi. Et alors là, gros "psychotage" : elle veut me voler mon vélo ? Ou mon sac à main ? Ou peut-être même ma voiture ? Elle me dit qu'elle est en panne, qu'elle n'a plus aucune unité sur son portable. Est-ce que je peux lui prêter mon téléphone pour qu'elle appelle quelqu'un ? Et là, j'ai compris. Elle veut me voler mon téléphone portable. Elle sort le sien, qui est 10 fois mieux que ma vieille rougne, mais bon, il est peut-être factice pour faire illusion. Elle me montre le numéro de Barbara dans son répertoire. Je compose moi-même le numéro pour lui tendre mon portable le plus tard possible. Je lui tiendrais bien moi-même contre l'oreille, pour être sûre qu'elle ne parte pas en courant avec, mais bon. Ça va faire la fille qui se méfie. Je lui tends. Barbara décroche. Elle lui explique qu'elle est en panne. Lui demande de contacter Laetitia (probablement la baby-sitter). Il faut qu'elle reste un peu plus longtemps, même si elle est malade comme un chien. Et surtout, est-ce que Barbara peut passer prendre Julien pour son cours de batterie à 19h00. Bref. Elle raccroche. Me dit qu'elle a probablement laissé ces feux allumés ce matin, vu qu'il y avait du brouillard. Et du coup la batterie s'est déchargée. Et comme elle a une vieille voiture qui ne "bip" pas quand on oublie les phares... Je lui dis que je n'ai pas de pinces pour l'aider à redémarrer... et de toute façon, je n'aurais pas su où les brancher. Elle m'a dit qu'elle allait essayer de trouver quelqu'un qui en avait (des pinces). Je suis donc remontée dans ma voiture (qui "bip" elle !) et je suis allée chercher ma Brindille, qui avait perdu sa barrette et qui n'avait donc aucun œil de visible.

Tout ça pour dire qu'on entend tellement de choses qu'on devient complètement stressé et parano au moindre fait un peu inhabituel. Je me dis que j'aurais aimé que quelqu'un me prête son téléphone si j'avais été dans la même situation. Et j'aurais appelé l'Homme qui, même s'il n'est pas toujours gentil, serait venu à mon secours. Il aurait peut-être râlé un peu en me disant que j'aurais pu faire attention et ne pas laisser mes phares allumés, mais il serait venu.

Comme quoi... tout n'est pas perdu !

mercredi 26 novembre 2008

Un peu de culture...

Voici enfin toute la vérité sur l'origine d'une expression connue de tous. Elle est d'ailleurs souvent mal orthographiée depuis de nombreuses années...

Par un beau jour d'automne 1820, le duc de La Rochelle, passionné par la chasse aux canards mais frustré par le maigre gibier qu'il ramenait de ses pérégrinations dans les marais alentours, imagina qu'il devait être possible de fabriquer un outil apte à lui faciliter la tâche et rendre plus plaisante sa traque des animaux.

Il convoqua en son château tous les artisans de la contrée et organisa un concours entre eux. Il leur laissa deux mois pour fabriquer le plus inventif et le plus efficace des appareils pour la chasse aux volatiles.

A peine une semaine plus tard, un marchand du nom de Martin Eycouille, se présenta au château clamant a qui voulait l'entendre qu'il possédait ce dont le duc rêvait. Il obtint facilement une audience auprès du noble seigneur et s'empressa de lui faire la démonstration de son merveilleux objet.

Devant une assemblée dubitative mais curieuse, il sortit de sa poche un minuscule sifflet (un appeau) et le porta à sa bouche pour produire un son strident qui aussitôt imposa le silence parmi les personnes présentes.

A peine quelques secondes plus tard, des dizaines d'oiseaux de toutes sortes s'étaient approchés et virevoltaient autour de lui.

Le duc réalisa sans peine le profit qu'il pouvait tirer d'un tel accessoire lors de ses futures chasses. Il se racla la gorge et ne prononça qu'une seule phrase :

- Combien cela va-t-il me coûter ???
Martin Eycouille, sûr de lui, répondit au duc qu'il accepterait de se séparer de son objet en échange de la moitié de la fortune de son interlocuteur.

Cette requête fit sourire l'assemblée mais le duc garda tout son sérieux et accepta la transaction.

La nouvelle fit grand bruit dans la ville et se répandit vite bien au delà des limites du duché, jusqu'à Chatelaillon paraît-il. La rumeur disait qu'un marchand avait vendu un sifflet pour une somme astronomique au duc qui en paya le coût sans broncher.

On ne sait plus aujourd'hui ce que le marchand est devenu par la suite et l'objet n'a hélas pas survécu aux années, mais cette anecdote historique a subsisté dans la langue française pour qualifier un objet hors de prix : "ça coûte l'appeau d'Eycouille".

Un peu de culture ne peut pas faire de mal.

lundi 24 novembre 2008

Mon beau sapin

Une excellente initiative de Pénélope Bagieu. Elle a créé un site de BD qui fabrique des cadeaux.
Si, si. C'est possible.

Comment ça marche ?

C'est un site de bande dessinée en ligne. Chaque jour une planche de dessins. Chaque jour un auteur différent.
Chaque visiteur est comptabilisé et à la veille de Noël, sera reversée à la Croix-Rouge Française une somme proportionnelle au nombre total de visiteurs. Et ce don sera offert à l'opération "Arbres de Noël" de la Croix Rouge afin d'offrir des cadeaux aux enfants défavorisés.

Il n'y a rien à acheter ! C'est complètement gratos.
Et inutile de cliquer 30 fois par jour. C'est le nombre de visiteurs qui compte et pas le nombre de visites. Donc allez-y chaque jour et parlez en autour de vous.

C'est pour la bonne cause !

jeudi 20 novembre 2008

L'australienne sur la blogosphère

Enfin, ma sister australienne me rejoint sur la blogosphère.
Ça fait 2 ans qu'elle vit en Australie.
Demain, elle part pour l'Asie et L'Indonésie.

C'est une excellente idée sister !!

Tu nous manques.

mercredi 19 novembre 2008

Dîner filles


Vendredi dernier a eu lieu notre dîner entre filles. Un RDV auquel nous sommes fidèles depuis un moment maintenant et que nous réitérons chaque mois ou mois et demi.
Ce dîner se déroule chez l'une d'entre nous si elle a réussi à se débarrasser de son Homme. Sinon, nous nous retrouvons au restaurant.

Il y a Karine. C'est quelqu'un d'attachant et de mystérieux pour moi.
Lolo, rigolote, souriante et pleine d'entrain. Dire qu'elle va peut-être venir travailler dans mon agence !!
Flo. C'est elle que je connais le moins. Je pense qu'elle est quelqu'un de confiance et qu'elle est fidèle en amitié.
Et Nath. Quand je l'ai connue, quand elle est arrivée dans mon agence, je la trouvais assez froide. Finalement, nous avons fini par nous rapprocher pour faire face à notre nabot de chef de l'époque. Et maintenant que je la connais mieux, c'est quelqu'un que j'admire beaucoup. C'est pour moi un modèle aussi bien dans sa vie professionnelle que dans sa vie personnelle. C'est grâce à elle qu'il y a quelques années je me suis "réveillée" et que j'ai eu envie de m'affirmer. C'est en me comparant à elle que j'ai eu envie d'être plus qu'une mère ou qu'une épouse. J'ai eu envie d'avoir une vie sociale. J'ai eu envie d'avoir des amies à moi.
Ça m'a fait un bien fou. Elle ne le sait peut-être pas (maintenant, elle va le savoir ;-) mais je lui dois beaucoup.

Nous avons toutes plus ou moins travaillé dans le même bâtiment. Ce n'est plus le cas aujourd'hui, mais nous sommes restées en contact. Et je n'ai pas envie que ça s'arrête. J'adore nos petites soirées.

Vendredi, c'était chez Nath, dans sa maison chaleureuse.
D'ailleurs, son fiston a résumé notre soirée à son papa : "On aurait dit des gamines de 14 ans !". (Il en a 12.) Bon, ça c'est fait !

J'adore son intérieur, très cosy.

Autour d'un apéritif au champagne, nous parlons de lectures, de musiques, de boulot aussi (Nous ne travaillons plus dans le même bâtiment, mais nous faisons encore partie du même groupe).

Et vendredi, j'ai réalisé que j'étais la plus grande de nous 5. Ben si. Et ça paraît assez aberrant quand on sait que je mesure 1,61 m !
Il me semble que je suis la plus jeune aussi... mais chut !

Bref.

Depuis plusieurs dîners, nous avons mis le nez dans nos albums de mariage, ou dans nos albums de jeunesse.
Des photos de mariées très très romantiques...

En ce qui concerne Nath, quand elle était jeune, était un mélange de Romy Schneider et de Grace Kelly. La classe hein ?

Quand elle était jeune, elle ressemblait à ça...

Pour son mariage, c'est plutôt ça...

Sur les albums de nos 18 ans, on relit les commentaires qui entourent les photos.

Passionnant !!

Puis nous sommes passées à table.

Ce soir, c'est Picard qui invitait avec son risotto à l'artichaut. J'adore faire la cuisine. Je n'achète jamais de plat préparé, mais je dois avouer que ce risotto est délicieux.

Et pour le dessert, c'était le fondant au chocolat Picard toujours. Excellent ! D'ailleurs j'en ai mangé 2. J'ai commencé mon régime le lendemain ;-)

Voilà.
Tout ça pour dire que je kiffe grave nos soirée filles.

Vivement la prochaine !!!

dimanche 16 novembre 2008

6 trucs tordus

J'ai été "chaînée" par Kaki - merci Kaki, je te revaudrais ça ;-)

Je dois vous avouer "6 trucs tordus" me concernant.
Eh ben, c'est pas facile !
Parce qu'en fait, je suis un peu tordue moi-même.

J'ai posé la question à mes enfants, la première chose qui leur est venu à l'esprit, c'est que j'avais un problème avec le ménage...

1) ... J'aime que ma maison soit nickel. Les enfants disent que je suis maniaque. Non. J'aime que tout soit rangé, que tout soit propre. C'est tout.
Comme ça, si des amis arrivent à l'improviste, je ne suis jamais prise de cours. (C'est pour ça aussi que je ne porte jamais de jogging à la maison).
Remarque, on n'a pas d'amis. Je devrais peut-être moins me prendre la tête.

J'utilise un peu le ménage comme un défouloir. Comme disais Kaki récemment, un bon nettoyage de fond en comble, c'est aussi bien qu'une séance chez un psy.
Mais bon, je suis peut-être un peu maniaque quand même. C'est vrai que je le sors souvent cet aspirateur.

2) J'avoue ! Je regarde plein de débilités à la télé : "Star ac", "Nouvelle Star", "Incroyables talents", "La petite maison dans la prairie", et même quand je suis à la maison, "Un jour, une histoire", le film du début d'après-midi de M6...
Ça me détend.
Quand je dis que je regarde, je ne suis pas assise dans mon canapé devant la télé. Non, la télé est allumée, et je vaque à mes occupations. Et de temps en temps, quand quelque chose m'interpelle, je m'arrête et je regarde. J'utilise assez la télé comme une radio en fait.
Et même que je pleure quand un candidat sort, quand un autre gagne ou quand Laura Ingalls est triste...
Par contre, je ne regarde pas "Les feux de l'amour", ni "Inspecteur Derrick". Je n'en suis pas encore là.

Mais AUCUNE de ces émissions n'arrivent pas à la cheville de "Dr House". Parce que je vais vous avouer un truc de plus : Hugh Laurie me fait craquer !


3) J'ai un problème avec la bouffe. Pas tout à fait le même problème que Kaki. J'essaie de toujours cuisiner pour ma petite famille. Le souci, c'est que je suis hyper gourmande et que je suis incapable de me maîtriser. Je fais une fixation sur mon poids, mais je ne peux pas résister face à un bon pain croustillant, je ne peux pas ne pas me resservir si ce que je mange est délicieux.
Et je suis une dingue du chocolat.
En tablette, en bonbons, en gâteaux... Et je suis une folle de chocolat au lait chaud aussi. J'en boirais 12 par jour si je m'écoutais. Je n'aime pas trop le thé, ni les infusions... Je n'ai trouvé aucun substitut possible. Et attention, quand je dis chocolat chaud, c'est UNIQUEMENT du chocolat Poulain Grand Arôme, et aucune autre.

Depuis hier, j'ai commencé un régime hyper-protéiné. Je ne mange que du poisson, de la viande, des oeufs et des yaourts 0%. Et ce matin, devant mes oeufs brouillés, ça a été un supplice de voir ma petite famille croquer dans des tranches de pain de campagne grillée, accompagnées de miel, de confiture ou de nutella. J'ai bien essayé de leur proposer un petit déjeuner anglais avec oeufs brouillés et bacon, histoire de me sentir moins seule. Je leur aurais même fait des pancakes s'ils avaient été gentils. Ils n'ont même pas voulu.
Bonjour la solidarité !
Il a intérêt à être efficace ce régime ! Si je perds autant de kilos que je vis de frustrations, dans 3 jours, je m'habille en 12 ans (et vu ma taille, ça ne choquera personne !)

4) Je déteste les gens qui mangent la bouche ouverte. Je ne supporte pas ça. Et en général, outre le fait qu'ils nous font profiter du spectacle de ce qu'ils mâchent, ils font un bruit d'enfer.
Déjà quand j'étais jeune, pour moi, c'était un blocage total. Il m'était impossible de sortir avec un garçon qui mangeait la bouche ouverte, aussi beau soit-il. (J'avais aussi un problème avec ceux qui faisaient des fautes d'orthographe. Une belle lettre enflammée... pleine de fautes, je refusais toute relation autre qu'amicale. Ben oui, faut pas pousser quand même.)

Et un autre truc qui m'agace beaucoup, c'est quand mon gros chat adoré, vautré sur notre lit, a décidé de faire sa toilette quotidienne alors que moi j'essaie de dormir. Le bruit de léchouille, ça m'agace. Je plonge la tête sous l'oreiller pour ne plus entendre et pour essayer de me rendormir.

5) Je commence plein de choses... et je ne les finis pas.
J'ai commencé une broderie il y a de cela... un certain temps. C'était pour ma petite nièce la Fée Clochette. C'est un abécédaire, mais avec des chiffres. Je crois que je l'ai commencé quand ma soeur était enceinte. Aujourd'hui, la Fée Clochette a 5 ans, et je n'en suis qu'au 6 ! Avec un peu de chance, je l'aurais terminé avant sa majorité.

Quand j'étais jeune, j'ai joué du piano. J'ai toujours un orgue électronique (qui n'a rien à voir avec un vrai piano, je sais, mais je fais ce que je peux). De temps en temps, il me prend l'envie de m'y remettre. Je choisis une partition. Ce qui me prend déjà une bonne heure parce que j'en ai une quantité impressionnante. Et je commence à travailler le morceau. Ça dure un certain temps. Et j'abandonne bien avant de bien jouer le morceau.

Il y a 2 ans de cela, nous avons rencontré un mec qui jouait de la guitare et qui avait animé la soirée avec son instrument. (Sa guitare bien sûr ;-)
Le lendemain, je disais à l'Homme que je voulais une guitare moi aussi.
Le soir même, j'en avais une.
Et 2 mois plus tard, j'abandonnais.
Trop dur de s'initier à un instrument sans professeur.
Maintenant, elle prend la poussière...
J'ai plein d'autres exemples de choses que j'ai commencées mais que je n'ai jamais terminées.

6) Le lundi, je ne travaille pas. Quand l'Homme accepte d'emmener la Brindille à l'école, je peux me prélasser sous la couette. Mais en fait, je suis réveillée en même temps que lui. Forcément, c'est moi qui éteind le réveil. Donc, dans le noir, je guette les bruits et les odeurs. La Brindille sous la douche. Le Minimoy dans la cuisine. Le bruit des cuillères dans les bols. Les tartines qui sautent dans le grille-pain. L'odeur du pain grillé et du chocolat chaud. La brindille descend. Elle met ses chaussures. J'éclaire les chiffres du réveil pour vérifier qu'elle n'est pas en retard. Elle vient me faire un bisou. L'Homme aussi.
Je reste sous la couette.
Et dès que je suis sûre que tout le monde est parti, je me lève.
J'adore ce moment.
Je vais prendre mon petit déjeuner, toute seule dans la cuisine, en compagnie de William Leymergie.
Ben oui, il n'y a pas grand chose à la télé à 8h00 du mat si on n'aime pas le télé-shopping ou M6 Boutique.
Je savoure ce moment de tranquillité.
Je crois que si je devais changer de boulot un jour, ce qui me manquerait le plus, ce serait ça. Ce petit déjeuner en paix !

Bonus :
Un septième truc tordu : je fais une fixation sur les microbes.


Ça en devient ridicule. Dans des lieux publics, je suis incapable de poser mes fesses sur une lunette de WC. Je vous assure que ça muscle les cuisses ! Même dans le camping où nous étions récemment, où il y avait très peu de passage du fait de la saison, et où les toilettes étaient nettoyés tous les jours, je ne pouvais pas. Ou alors, il fallait que je pose une dizaine de serviettes en papier (c'est plus large que du papier toilette) sur la lunette avant de m'asseoir... et encore, du bout des fesses !

Et la douche dans les sanitaires d'un camping. Je la prends sans poser complètement les pieds par terre. Je reste les pieds tournés sur l'extérieur, jusqu'à ce que j'ai mal et que je sois obligée de les poser à plat. Je ne sais jamais ou poser mes affaires. Il me faudrait 12 portemanteaux pour pouvoir tout suspendre, et il faudrait que ça ne touche pas les murs. J'inspecte tout. Un cheveu, je change de douche. Je pose mon shampoing en équilibre sur les robinets, le gel douche idem. Et la brosse à dent. Il ne faut pas qu'elle touche le lavabo. Je coince le dentifrice entre les cuisses, la serviette sur les épaules. Je vous dis : je suis complètement malade.

Pareil avec les poignées de portes de lieux publics. J'imagine les 300 milliards de microbes qui s'y trouve, et du coup, je pousse la porte avec le pied. Vive les portes automatiques !

Et les caddies de supermarché, c'est une véritable horreur. Tout est sale dans un supermarché. Tout le monde tripote tout. Vous n'avez jamais remarqué que quand vous vous lavez les mains après avoir faite vos courses (vous le faites au moins ??!!??), une eau noirâtre coule et il faut savonner longtemps avant qu'elle redevienne claire ? Et alors quand je vois les petits bouts de chou, assis dans le fauteuil du chariot, qui lèche la poignée à grand coup de langue, je trépigne. Je me retiens d'aller dire aux parents que c'est dégueulasse de laisser faire ça !

J'ai fait une fixation pendant que nous faisions la queue pour faire une attraction de Port Aventura. J'ai vu des gens tousser ou éternuer dans leurs mains, et les reposer aussitôt après sur la rambarde. Estimons-nous heureux, ils ont mis la main devant la bouche ceux-là. Parce qu'il n'y a rien de plus désagréable que de sentir quelqu'un tousser dans ses cheveux.
Et les joggings. C'est classe, c'est mode, ça donne un genre. Et puis c'est tellement pratique de pouvoir plonger la main à l'intérieur, plus ou moins discrètement, de se les remettre en place (les coucougnettes, je veux dire) et de reposer ensuite la main sur la rambarde. aaarrrrrrrrrggggghhh ! Vous imaginez la tonnes de milliards de microbes ?
Je sais.
Je psychote mais les microbes, c'est pas mon truc.

Bon, maintenant que vous me connaissez mieux e(t je vous promets, j'ai aussi des côtés normaux), je dois passer le relais à 5 autres blogueurs.

And the winners are :
Alex Cessif ou Sergio
Le blog de Bounty
Label isa
Le monde de Philémon
Prise de chou

Je compte sur vous...

mercredi 12 novembre 2008

Cookies aux pépites de chocolat

Samedi, j'ai déjeuné avec mes collègues préférées, toutes celles qui ont participé à l'achat de mon cadeau fabuleux, dont je vous ai parlé .

Et parmi les collègues qui ont eu cette excellente idée, il y avait aussi Benfou... que j'ai oublié de convier à notre petite réunion féminine... Il faut dire, que lui, c'est un mec. C'est peut-être pour ça que je l'ai oublié !

Quoi qu'il en soit, pour me faire pardonner, demain, je lui amène des cookies, rien que pour lui.

Et comme vous êtes très gentils, je vous donne aussi la recette.

Pour des cookies aux pépites de chocolat :

Dans une terrine, travailler 1 œuf au fouet en ajoutant progressivement 150 g de sucre en poudre, 1 pincée de sel et 1 cuillère à café de vanille en poudre ou liquide. La pâte doit être très mousseuse.

Faire fondre doucement 100 g de beurre. Tamiser ensemble 225 g de farine et 1 cuillère à café de levure chimique. Incorporer à la pâte alternativement le beurre et la farine, en tournant à l’aide d’une cuillère en bois. Ajouter 150 g de pépites de chocolat en les répartissant au mieux.

En ce qui concerne les pépites, je préfère les faire moi même en concassant du chocolat noir. Je trouve les pépites achetées dans le commerce moins goûteuses.


Mettre cette pâte au réfrigérateur dans une boîte fermée.


Beurrer une feuille d’aluminium et déposer la sur la grille. Vous pouvez aussi utiliser un tapis en silicone. Dans ce cas, pas besoin de beurrer la surface.

A l’aide d’une cuillère à café, prélever des noix de pâte, les façonner en boulettes, les déposer sur la feuille d’aluminium, puis les aplatir légèrement à la main. Espacer régulièrement les cookies parce qu'ils s’étalent un peu à la cuisson. Remettre le reste de pâte au frais.


Faire cuire à four chaud (210°C) pendant 7 à 8 minutes pour moi, puis laisser refroidir sur une grille.


(encore que quand les pépites de chocolat sont encore chaudes... c'est un régal !)


Ces cookies se conservent très bien quelques semaines dans une boîte hermétique.


Bon app'


mardi 11 novembre 2008

Hyper active ?

(Je vous préviens, ce texte est super chiant. Vous ne viendrez pas vous plaindre !)

Dimanche, l'Homme avait une randonnée VTT.
Un dimanche peinarde !
Seule avec mes enfants, je comptais prolonger mon agréable moment de la veille en me prélassant, en me faisant "cocooner"...

Ils en avaient décidé autrement.

Ça a commencé par la Brindille. Elle a vidé la totalité de sa bibliothèque par terre pour pouvoir la déplacer. Et du coup, on a aussi déplacé le bureau, le lit...
Et le Minimoy, plus pragmatique, a fait le plan de sa chambre sur une feuille à carreaux, et il a déplacé ses meubles virtuellement avant de se décider.
Finalement, toute l'organisation de leur chambre a été bouleversée.

"Maman, ces livres, je ne les veux plus."
"Maman, ça c'est pour les bébés ça, je n'en veux plus."
"Maman, ça tu peux le ranger ailleurs s'il te plaît."
"Maman, il est mieux là le pouf ou là ?"
"Et mon miroir, je le mets où ?"
"Tu peux faire un trou dans le mur pour que déplace mon cadre ?"

etc...

J'ai donc passé la journée à déplacer des meubles, à conseiller, à ranger, et à mettre des bouquins en vente. Ma boutique est .

Bon, lundi, je me repose alors.

8h30 : j'accompagne la Brindille à l'école. Le Minimoy va prendre son bus.
8h45 : ménage à fond
10h30 : RDV avec la prof d'anglais du Minimoy.
11h30 : retour à la maison. Fin du ménage et déjeuner... seule devant ma soupe... et devant "La petite maison dans la prairie". Je les connais par coeur, mais je ne m'en lasse pas.
13h45 : je vais récupérer le Minimoy qui a terminé ses cours.
14h00 : on fait les devoirs avec le Minimoy (la composition des mots, les suffixes, les préfixes, les triangles plats).
16h30 : je vais chercher la Brindille à l'école.
16h45 : les devoirs avec la Brindille ("Limerick, des gens excessivement polis" et comme dit Claude Roy "l'ennui avec les gens polis, c'est qu'ils n'en ont jamais fini, tout en saluts tout en courbettes, mais trop polis pour être honnêtes", et la table de 12)
18h30 : je commence le repas. J'ai fait du poulet à l'ananas. Les enfants ont adoré.
19h00 : j'accompagne la Brindille à la danse.
20h00 : je récupère la Brindille
20h15 : on passe à table.

Bon.

Je me reposerais demain.

Mardi, c'est le 11 novembre.
La Brindille fait partie du conseil municipal des enfants. Il était de son devoir de participer à la commémoration qui a eu lieu dans notre commune.

Elle a lu un texte, avec 2 de ses camarades.

C'était assez émouvant, je dois le dire.

Moins émouvant, direction mon hypermarché préféré, bondé de monde. Il fallait s'en douter, le mardi, c'est moins 10%. Et quand, en plus, ce mardi est férié, c'est bondé.

Retour à la maison.
Je me rue dans ma cuisine.
A midi, c'est tartiflette.

Et dans l'après-midi, si je faisais une petite sieste ? Et non. J'ai entrepris de vider, nettoyer et ranger mes placards de cuisine.
Ça m'a pris tout le reste de la journée.

Et ce soir, pour le dîner, je leur ai fait des feuilletés à la courgette. Le Minimoy a fait la grimace... mais il l'a mangé quand même.

Bon, c'est demain que je me repose alors ?? J'ai posé ma journée. Ça devrait être un peu plus cool.

Je ne cherche pas à forcer l'admiration. Loin de là. Je ne suis pas une super woman.
Mais ces périodes d'hyper activités, ces journées de rangement ou de ménage intempestif sont souvent liés à un mal-être.
Rien de grave.
Juste une baisse de moral.
Je ne suis même pas allée à mon cours de danse ce soir. Pas envie.
Je n'ai envie de rien.

Dès que le soleil sera de retour.
Dès que j'aurais perdu ces p.... de 4 kilos qui me pourrissent la vie.
Dès que je saurais ce que je veux.

Ça ira mieux...


samedi 8 novembre 2008

Douce journée


Ça ne m'arrive pas souvent, mais aujourd'hui, grâce à mes collègues préféré(e)s, j'ai passé un moment de cocooning bien agréable, un moment rien qu'à moi.

(pour les photos, j'ai fait dans le flou. Les autres proviennent du site Internet du lieu)

Ça a commencé par un déjeuner à "La vie en Rose" à Bordeaux, quartier des Chartrons.
C'était l'endroit qu'il fallait : cosy et décontracté. La déco toute rose donne l'impression qu'on déjeune chez une amie. On y a goûté des tartes, des cakes, des salades, des gâteaux et des glaces...

...accompagnés d'un sirop délicieux de violette ou de melon (et pas de pêche de vigne pour Lilie).

J'ai adoré. Ce concept me tient vraiment à cœur. Si je devais un jour ouvrir un restaurant, c'est exactement ce que j'aurais envie de faire. Un jour... peut-être...

Après que Lilie ait tâché son pull, après avoir touché le ventre de MaSo pour sentir le petit Riton bouger, après que Biquette ait fait des pronostics sur sa prochaine mutation, après que Jo -dite Poupy (parce que Poupy, c'est bien elle ;-) ) ait hésité entre moelleux au chocolat-framboises ou glace croquante, j'ai pris la direction de la Villa Clémenceau.

La Villa Clémenceau, c'est LE spa.

C'est dans un hôtel particulier.

Un bel escalier en pierre et une très belle entrée.

Des couleurs sombres et chaudes éclairées par des bougies, une ambiance feutrée.
Une décoration luxueuse et chaleureuse.
Une douce musique. Le bruit de l'eau de la fontaine.
L'odeur des huiles essentielles et de l'encens.

La jeune femme qui m'accueille parle tout bas. Elle chuchote presque. Du coup, je lui réponds en chuchotant aussi.

Déjà dans la salle d'attente, on se sent déjà relaxée. L'odeur du thé chaud embaume la pièce.

Pas une parole plus élevée.
Pas une porte claquée.
Même la sonnette de l'entrée ou le téléphone se fondent dans l'ambiance.
Les jeunes femmes, toutes vêtues de noir, semblent se déplacer au ralenti. On n'entend pas leurs pas.

Quand elle vient me proposer les soins, elle s'accroupit pour se mettre à mon niveau, et elle chuchote elle aussi.

Je rentre dans une cabine. Les murs sont bruns là aussi.
Le jeune fille qui s'occupe de moi est très discrète. Elle ne parle que quand il le faut. Elle est douce. Par moment, dans l'obscurité, j'ai presque l'impression qu'elle n'est pas là.

Massage de la voûte plantaire.
Gommage exfoliant du corps à la poudre de noyaux d'olives. Ça a pas l'air comme ça, mais c'est super agréable.
Massage et enveloppement aux extraits naturels de plantes dans des serviettes chaudes.
Et le summum : le massage relaxant du cuir chevelu pendant la durée de l'enveloppement.

J'étais partagée entre l'envie de me laisser aller et de m'endormir doucement, ou de rester réveillée pour en profiter au maximum.

Et à la fin du soin, un retour sur terre en douceur, avec un thé ou un verre d'eau, un chocolat... et une petite enveloppe.

Il a dû vous saouler mon message, mais je suis encore dans l'ambiance...
Tiens, je vais aller me faire couler un bain avec des pétales de rose et des bougies.

Je vous remercie pour ce cadeau, mais ne m'en voulez pas, pendant tout le temps du soin, je n'ai absolument pas pensé à vous ;-)
Je planais.
D'ailleurs, je crois que je plane encore un peu ce soir...

vendredi 7 novembre 2008

Sa vie est tout à fait fascinante

Je suis fan de Pénélope Bagieu.

Et j'adore ses dessins.. sutout ceux-là.

Jugez par vous mêmes en cliquant !

jeudi 6 novembre 2008

C'est pas facile le vélo !

Y'a des fois où on préférerait être ailleurs !

Je suis partie comme tous les matins en voiture. Je dépose la Brindille à l'école et je file jusqu'à la caserne des pompiers près de laquelle je me gare habituellement.

Je déplie mon vélo (oui, j'ai un vélo pliant !).
Il a déraillé ! Ça commence !

Je remets la chaîne, armée de lingettes parfumées. Je ne vais pas arriver les doigts tout noirs au boulot. Je ne suis pas mécano dans la vie !

J'enfile mon poncho, parce que vous me croirez ou non, et ben il pleut !
Vous savez comment c'est un poncho ?


C'est large en bas et serré au cou... et la capuche, c'est comme le K-Way dont Dany Boon parle si bien : quand tu tournes la tête sur le côté, tu ne vois rien. Je ne vous raconte pas la dégaine que j'ai, accoutrée comme ça. Heureusement que je ne rencontre pas trop de clients en route...

Bref !

Je pédale gentiment. Je traverse le pont de pierre. Je regarde la Garonne. Je longe le miroir d'eau. J'arrive à l'endroit où je dois traverser. J'attends que le petit bonhomme du feu soit vert. Il est vert. Je remonte sur la selle. J'avance.

ET LA, C'EST LE DRAME !

Mon poncho, large en bas, se prend dans un piquet. Vous les voyez les piquets à droite de la photo ? (photo qui n'est pas de moi mais qui a été récupérée sur le net, juste pour vous montrer le lieu du crime).


Donc, le poncho se prend dans le piquet. Et comme ils sont super solides les ponchos de chez Decath, ( les piquets aussi, mais ça vous vous en doutez !) et bien il ne se déchire pas.
Non, non, non.
Je suis arrêtée nette et je tombe sur le côté, comme une pauvre crêpe ! Et si je dis "crêpe", c'est pour ne pas dire comme une pauvre merde.
Et là, je peux vous dire que j'ai connu un très grand moment de solitude !
La main un peu égratignée, la hanche endolorie, je relève mon vélo. Je redresse le guidon, je remets la selle droite. Ben oui, parce qu'un vélo pliant, ça se plie, même quand on ne veut pas !
J'époussette mon pantalon parce que je vous rappelle qu'il pleut. Le trottoir que j'ai vu d'un peu près est humide.
Je remonte sur le vélo. Je reste digne, très digne.
Parce que si vous visualisez bien la situation : si j'ai traversé, c'est parce que le bonhomme est vert. Ça veut donc dire qu'il y plein de voitures arrêtées au feu rouge. Et si vous suivez, c'est l'heure de l'embauche. Ça veut donc dire qu'il y a PLEIN de voitures arrêtées au feu.
J'espère qu'aucun d'entre eux ne m'a filmée. Tiens, d'ailleurs, je vais aller taper "chute ridicule vélo gonzesse avec poncho" pour voir si quelqu'un a déjà mis la vidéo sur Internet.

Donc, je suis repartie. Digne. Sans regarder les voitures arrêtées. Au contraire, j'ai resserré le lien de ma capuche pour être sûre que personne ne me reconnaisse.
J'avais un peu de mal à pédaler, mais j'ai fait comme si....

Et ce soir, en repassant au même endroit, je me suis demandée s'il y avait certaines personnes qui étaient déjà là ce matin.

Bon. Il faut voir le bon côté des choses : ça m'a donné un sujet pour ce soir !

mercredi 5 novembre 2008

Loca quoi ?

Entendu au bureau :

Le client : je voudrais changer d'adresse. Je vis chez mon amie.

La conseillère : Elle est propriétaire ?

Le client : non, elle est locatrice.

** Le client en question est un ancien participant à une émission de télé réalité...

mardi 4 novembre 2008

Coté Créa

Pour toutes celles qui ont bavé devant mon superbe collier...
Quoi ? Vous ne vous souvenez pas ?
Je vous remets la photo.


Donc, si vous aimez ce collier, voici le blog de sa créatrice, Anne, ainsi que plein d'autres superbes bijoux. (Notez que sa sœur, Miss Rainette a passé beaucoup de temps pour que ce blog voit le jour).
Vous avez l'adresse mail de Anne pour les questions et les commandes. N'hésitez pas. Elle est super sympa.
Vous avez vu comme je pense à ceux qui sont à sec d'idées pour les fêtes de Noël ??


samedi 1 novembre 2008

Biscuits au potiron et aux pépites de chocolat

En cette période d'Halloween, voici une recette originale trouvée sur un "cuisine actuelle". J'ai un tout petit peu modifié les quantités.

Voici les ingrédients pour une vingtaine de biscuits :

- 350g de potiron cru
- 125g de beurre fondu
- 170g de sucre roux
- 2 œufs
- 300g de farine
- 1 sachet de levure
- 50g de raisins Corinthe
- (50g de raisins blonds) je n'en ai pas mis.
- 120g de pépites de chocolat
- 1/2 cc de cannelle
- 1 sachet de vanille en poudre


Mettre le four à chauffer à 180°.
Râpez le potiron et mettez le à égoutter dans une passoire.

Dans un saladier, mélangez le beurre et le sucre. Ajoutez les œufs, la vanille et la cannelle.
Mélangez jusqu'à obtenir une pâte homogène.

Pressez le potiron entre les mains pour en faire sortir l'eau. Ajoutez le à la préparation. Mélangez. Ajoutez la farine.

Une fois le tout bien mélangé, mettez les raisins et les pépites de chocolat.

Sur une plaque recouverte de papier cuisson, faites des petits tas de la taille d'une noix à l'aide d'une cuillère. Espacez les bien.
Enfournez pour 15 minutes.

A la sortie du four, mettez les biscuits sur une grille pour les faire refroidir.

Les bords sont croquants, l'intérieur est bien moelleux. C'est délicieux.