jeudi 29 mai 2008

C'est quand qu'il fait beau ???

Quoi raconter...

Des fois, il ne se passe pas grand chose...

Ah si, repas en famille hier à la maison, avec la fée clochette...


C'était sympa mais un peu tristounet à cause du temps. J'aurais aimé que l'on puisse manger dehors, mais le soleil en avait décidé autrement.

C'est quand qu'il fait beau ???

lundi 26 mai 2008

Marmaille

Super week-end en famille, avec mon neveu le petit poisson et mes nièces la luciole et la Ninette.
Malgré quelques petits désaccords en matière d'éducation, et malgré le manque de soleil, nous avons passé deux belles journées.




Pour la première fois depuis que je suis maman (soit 12 ans), j'ai eu un bouquet de fleurs le jour de la fête des mères par mon époux.
Quel bonheur !
Et aussi, un pot à crayon par la Brindille et des orchidées par le Minimoy.




vendredi 23 mai 2008

Civisme

Quand une loi interdit de fumer dans des lieux publics, plus personne ne fume dans les lieux publics. Si on ne respecte pas cette loi, on paie une amende et le patron de l'établissement aussi.
Un sens interdit, on change de direction.
Il y a un code de la route. On le respecte pour ne pas perdre de points ou payer des amendes.
A part quelques rebelles, tout le monde se plie à ces règles.

Mais dès qu'on sort des règles, dès qu'il y a moins de risque de se faire prendre, là, jaillit le manque de civisme des gens.
Vous savez ce que ça veut dire "civisme". C'est le respect du citoyen, du savoir-vivre, de la bienséance.
Mais il est où le respect quand il n'y a plus de garde-chiourme ?

Je vis dans un petit lotissement. Pour l'instant, nous sommes 2 familles. Nous avons nos poubelles à nous. Mais un soucis de chemin ne permettant pas aux éboueurs de manœuvrer, nous oblige à laisser nos poubelles au bord de la route.
Ça pourrait être discret si des gens sans complexe ne les utilisaient pas comme décharge !
Voilà le résultat.


Que d'autres personnes utilisent nos poubelles, soit. Mais il y a un minimum de règle quand même.
Quelqu'un s'est débarrassé d'un énorme carton d'emballage. Croyez-vous qu'il l'aurait découpé en morceaux pour le mettre dans la poubelle ? Non, pourquoi ? Il n'habite pas là de toute façon ce porc. Il s'en fout complètement.
J'ai cherché une adresse, un nom sur ce carton. Rien. Dommage. Ça m'aurait fait plaisir de balancer cette saloperie dans le jardin du coupable.
Les déchets verts aussi.
Les éboueurs ne les prennent pas.
Il y a eu deux sacs qui sont restés plus de 2 semaines.
Je crois savoir qui est le coupable. Je l'ai vu celui qui tailler sa haie quelques jours plus tôt.
J'ai dû appeler la mairie pour qu'un employé municipal vienne les ramasser.
On a même trouvé une tondeuse dans notre poubelle.
Les gens sont des porcs.

Et en ville, les passages cloutés ?? Ça sert à quoi ??
Quand je veux traverser, personne ne s'arrête sauf si je suis sur mon vélo, en jupe et qu'un coup de vent laisse apparaître mes jolies cuisses. Là, ça va beaucoup mieux.
Sans compter tous ceux qui ne s'arrêtent déjà pas en temps normal mais qui en plus sont au téléphone. Autant dire qu'ils ne m'ont même pas vue mettre le pied sur la première bande blanche au risque de ma vie.

Et hier au supermarché, quand j'ai dû mettre 2 sacs de 15 kg de croquettes pour chien dans mon caddie. (Ben oui, ça mange un berger allemand). Deux hommes me regardaient en souriant. Croyez-vous qu'ils auraient proposer de m'aider ?? Surtout pas.
Idem quand j'ai dû sortir les deux sacs du chariot pour les mettre dans le coffre de ma voiture. Deux jeunes, tous beaux dans leurs joggings blancs, rentrés dans les chaussettes, sont passés à côté de moi.
"Et bonjour madame !"
"Et zyva, laisse-là, tu vois pas, elle est occupée ta race !"
Mais merde !! Oui je suis occupée. Et au lieu de vous marrer, vous ne voulez pas m'aider non ??

Et ma boulangère, pourquoi n'est-elle jamais aimable ?
Voilà le dialogue :
-"bonjour, je voudrais 4 baguettes pas trop cuites, s'il vous plaît.
- je fais ce que je peux...... 3 euros 20."

Alors le "je fais ce que je peux", c'était pas obligé. J'ai bien compris que je l'emmerdais, déjà en entrant dans sa boulangerie, je l'emmerde. Je ne lui demandais pas d'aller me faire cuire d'autres miches, mais parmi celles qui étaient devant elle, je voulais les baguettes les moins cuites.
Et le "S'il te plaît" avant de me donner le montant de ce que je lui dois aurait été le bienvenu.
C'est commerçant ça ??
Elle a de la chance que je n'ai pas trouvé de meilleure boulangerie plus près de mes poubelles !
Et puis je crois que si je ne venais plus, elle s'en foutrait d'ailleurs.
C'est fou ces commerçants qui ne sont pas capables de se rendre compte que s'ils vivent, c'est grâce à leurs clients. La moindre des choses, c'est d'être aimable et poli.

Ça me sidère ce manque de civisme et de savoir-vivre des gens.

Et ces gens qui ne respectent pas les règles de voisinage. Des feux de broussailles de 2 mètres de haut, le motoculteur jusqu'à 21 heures, voire même plus...
Ils ne risquent rien. On a essayé de faire intervenir les gendarmes. Ils sont venus... mais pour nous dire que tant qu'on n'en étaient pas venus aux mains, ils ne pouvaient rien faire.
Merci messieurs ! Et s'il y a un mort ? Vous intervenez ?
Finalement, quand j'en ai eu marre des gestes de menaces, quand mes enfants ont commencé à avoir peur de rester tout seuls à la maison, je suis allée les voir ces charmants voisins. Et je leur ai expliqué notre façon de voir les relations de voisinage... et maintenant ça va mieux.

Et le manque de savoir-vivre, ça commence très jeune.
Dans l'agence où je travaille, il y a des clients, qui viennent parfois avec leurs enfants, et aussi des plantes, des vraies, avec des petites billes dans les pots.
Et quand un gamin joue avec les billes et en met partout dans l'agence, et que ça fait rire les parents, moi, ça m'énerve. Ils aimeraient, eux, qu'on balance des billes partout dans leur salon ?
Et les gamins qui collent leur visage, et par la même occasion leur bouche baveuse et leurs mains sales sur les vitres de l'agence ?? Ça aussi ça fait rire les parents. Quelle éducation !! Pour le savoir-vivre plus tard, c'est mal barré !

J'en ai plein d'autres des exemples de manque de civisme qui m'agacent.
Il faudrait des punitions pour ceux qui se feraient piquer en plein acte de non-civisme.
T'as pas dit bonjour à la dame ? Tu vas ramasser les feuilles dans son jardin, et tu les amènes... à la déchetterie ! Tu verras, c'est pas compliqué.
Tu dis pas "s'il te plaît" à ta cliente ? Tu lui offres 4 baguettes gratuites...

Je ne pense pas être parfaite, mais je suis polie et bien élevée (merci papa et maman !) et je fais en sorte de vivre sans déranger les autres. Et c'est pas difficile !
A tous ceux qui seraient un peu trop sans gène parfois, si vous lisez ce message (ce qui m'étonnerait !), ne faites pas aux autres ce que vous n'aimeriez pas qu'on vous fasse !

mercredi 21 mai 2008

Le dragon des mers


Nous avons vu "Le Dragon des mers".
C'est très sympa.
L'histoire rappelle un peu "Sauvez Willy" mais en moins cul-cul.

Le jeune acteur, Alex Etel, qui incarne Angus est formidable.


L'histoire : Lors d'une promenade solitaire, le jeune Angus découvre un étrange objet qu'il ramène chez lui en cachette. Il s'agit d'un oeuf dont une étrange petite créature ne tarde pas à sortir.

Avec son petit monstre, qui devient très grand, qu'il a baptisé Crusoé, Angus va redonner vie à une des légendes les plus anciennes du monde, celle du Loch Ness...





Ce que je ne savais pas, c'est que ce film est adapté de l'oeuvre de l'écrivain Dick King-Smith.
Dans un tout autre registre, cet auteur avait déjà écrit "Babe", qui avait donné le long métrage "Babe, le cochon devenu berger".





lundi 19 mai 2008

Chez Servais

Un déjeuner "Chez Servais" à Libourne.
C'est un très bon rapport qualité prix, aussi bien pour les plats que pour les vins.
C'est beau-papa et belle-maman qui ont payé. Cadeau pour l'anniversaire de l'homme.

Je n'ai pas l'habitude comme certaines blogueuses de photographier les plats que l'on me sert. Pour être plus discrète, j'ai évité de mettre le flash parfois. Et du coup, certaines photos ne sont pas très nettes. Mais ça vous donnera quand même un aperçu de ce que nous avons pu déguster.

En entrée, une soupe de moules lutée.
"Luter", ça veut dire boucher ou protéger avec un lut. Là, en l'occurrence, la soupe de moules est recouverte d'une pâte feuilletée.


ou une tarte fine courgettes et chèvre.


Pour les autres, du saumon mariné ou des escargots aux noisettes.

Pour le plat principal, les adultes ont pris du poisson.

Les enfants de l'onglet avec sa sauce à l'échalote.


ou un duo de cailles sauce au raisin et son paillasson de pommes de terre.


En dessert, des sorbets maison,


des petits pots de crème café, vanille et chocolat,


du pain perdu.

C'était délicieux.
La déco de la salle n'est pas très chaleureuse, mais ce n'est pas dérangeant.
Visiblement, il y avait un soucis avec le serveur. Nous aurions aimé ne pas être au courant.
Et nous avons dû réclamer à plusieurs reprises du pain et de l'eau.

En dehors de ces petites choses sans importance, nous avons été tout à fait satisfaits par ce déjeuner.

jeudi 15 mai 2008

et merde...

En ce jour de grève, alors que je suis au trente-sixième dessous, les stars montent les marches...
Et puis on s'en fout des stars.
Moi, j'en ai marre de n'être une star pour personne.
Qu'est-ce que j'ai fait pour mériter ça ??
Faire chambre à part n'arrangera rien. Ça ne contribue qu'à faire traîner le problème.
On ne résout rien par des non-dits.
Moi, je ne demande qu'une chose : pouvoir être moi. C'est tout. Je ne demande pas grand chose. Ne pas être obligée de surveiller mes tenues, mes paroles, ma façon de me comporter...

Juste être moi.

Quand on dit que si je ne suis pas là, c'est dommage pour moi mais on fait sans moi.
Quand on me dit qu'on n'aime pas mes attentions, mes surprises, mes gentillesses.
Quand les enfants ne comprennent pas, pleurent ou se réfugient dans un mutisme total.
Quand je n'arrive plus à me sentir bien dans les godasses pourries.

Et bien c'est la merde total.

mercredi 14 mai 2008

61ème Festival de Cannes

Ouverture du 61è festival de Cannes.
Et comme on va en entendre parler partout dans tous les médias que je ne pouvais pas ne pas en parler dans mon blog.

L'affiche a été réalisée à partir d'un cliché de David Lynch.



Obtenir la palme d'or ne garantit le succès d'un film. Il y a eu de grands succès comme "Apocalypse Now", "Un homme et une femme", "M.A.S.H.", "Pulp fiction", "Taxi Driver", "La leçon de piano", "Mission"...

Il y a aussi eu quelques échecs. Ils vont forcément moins vous interpeller parce qu'on n'en a pas parler beaucoup : "Meilleures intentions", "Le goût cerise", "Conversation secrète", "Barton Fink"...
Ces films ont enregistré trop peu d'entrées.


Les films en compétition cette année :



















"24 City" de Jia Zhang Ke
Le destin d'ouvriers Chinois dont l'usine va être remplacée par un complexe d'appartements de luxe.






















"Adoration" d'Atom Egoyan
L'histoire d'un adolescent qui réinvente sa vie sur Internet.

Un phénomène de société.






















"Blindness" de Fernando Mereilles avec Julianne Moore et Danny Glover.

L'histoire : le pays est frappé par une épidémie de cécité qui se propage à une vitesse fulgurante.

Scénario catastrophe.






















"Che" de Steven Soderbergh. On le connaît pour "Sexe, mensonges et vidéo" pour lequel il a déjà obtenu une palme d'or en 1989.
Et ça parle du... che Guevara. Et dans le rôle d'el commandante, Benicio Del Toro.






















"Delta" de Kornel Mundruczo (Hongrie)
Un peu glauque : c'est une histoire d'amour incestueux et de vengeance familiale tournant autour d'un frère et d'une soeur se rencontrant pour la première fois.






















"Entre les murs" de Laurent Cantet
Le quotidien d'un jeune professeur de français aux méthodes souvent limites, dans un collège difficile.

Encore un phénomène de société.






















"Gomorra" de Matteo Garrone (Italie)
6 personnes confrontés à la criminalité dans les villes de Naples.

bof.






















"Il divo" de Paolo Sorrentino
Portrait de l'ancien Premier Ministre italien, célèbre pour ses liens supposés avec la Cosa Nostra.

bof.






















"La femme sans tête" de Lucrecia Martel
Une femme a écrasé un homme avec sa voiture. Le cadavre va venir la tourmenter.






















"La frontière de l'aube" de Philippe Garrel
Ce film relate la liaison entre une star délaissée par son mari et un jeune et fougueux photographe venu faire un reportage sur la carrière de cette dernière.






















"Le silence de Lorna" des frères Dardenne
L'engrenage d'un mariage blanc d'une jeune immigrée albanaise.






















"Leonera" de Pablo Trapero (Argentine)
Une femme incarcérée tente d'élever son enfant, né en prison.






















"Les trois singes" de Nuri Bilge Ceylan (Turquie)
La tentative désespérée d'une famille pour rester unie malgré les mensonges et trahisons en son sein.






















"Linha de Passe" de Walter Salles et Daniela Thomas (Brésil)
Le destin de quatre frères dans un Brésil en état d'urgence.






















"My Magic" d'Eric Khoo (Singapour)
Un père essaye de renouer les liens avec son fils en retrouvant son ancien métier : magicien.






















"Serbis" de Brillante Mendoza
Des gigolos vendent leurs services dans un cinéma pornographique.

Un film un peu osé peut-être...






















"Synecdoque" de Charlie Kaufman
L'histoire d'un dramaturge angoissé

Un film probablement bien déjantée !






















"The Changeling" de Clint Eastwood

L'histoire de l'enlèvement d'un enfant, avec Angelina Jolie, rien que ça !
Il n'a pas eu la Palme d'Or avec "Mystic river", un film splendide, peut-être l'aura-t-il avec celui-là.
Ça promet d'être un film plein d'émotions.






















"The Palermo Shooting" de Wim Wenders. (Allemagne)
Déjà 8 participations au Festival de Cannes et une Palme d'Or en 1984 avec "Paris-Texas".

Ce nouveau film raconte la romance entre un Allemand d'âge mûr et une jeune italienne sous le soleil de Sicile.






















"Two lovers" de James Gray avec Gwyneth Paltrow et Joaquin Phoenix (le méchant de "Gladiator").
Il s'agit d'une comédie romantique dans laquelle un homme hésite entre suivre son destin et épouser la femme que ses parents lui ont choisi ou se rebeller et écouter ses sentiments.






















"Un conte de Noël" d'Arnaud Desplechin
Le destin d'une famille endeuillée par la mort d'un enfant faute de greffe pour le sauver.
Avec Catherine Deneuve, Jean-Paul Roussillon, Emmanuelle Devos, Chiara Mastroianni.






















"Waltz with Bashir" d'Ari Folman (Israël)
Le premier long-métrage documentaire d'animation de l'histoire du cinéma.
L'histoire se passe pendant la première guerre du Liban.



Sans oublier le héros hors concours Indiana Jones, dans la suite des aventures "Indiana Jones et le royaume des crânes de cristal".





Le président du Jury cette année : Sean Penn



Maintenant que je vous ai bien saoulés avec les films en compétition, on va parler de choses plus futiles concernant le festival de Cannes : strass, paillettes, montée des marches, des stars dans des robes splendides de grands couturiers.

Bientôt, on aura les premières images, les premiers scandales...

Comme en 1983, quand les photographes ont boycotté la montée des marches d'Isabelle Adjani parce qu'ils considéraient que la star avait envers eux des attitudes de diva.

Comme en 2001, alors que la France entière se passionne pour le premier jeu de télé-réalité, Loft-Story. Les débats sur le bien fondé de telles émissions font rage dans les médias, des lofteurs, Aziz et Delphine, sortis du jeu et avides de célébrité, voulaient monter les marches, mais la direction artistique de festival leur refuse l'accès. Les deux lofteurs seront repoussés par les vigiles.

Comme la vision furtive du sein de Sophie Marceau en 2005.

Ça sera quoi cette année ???


Toutes ces informations sont extraites d'un article de l'excellent site "L'internaute".

dimanche 11 mai 2008

Tartelettes coco au lemon curd


On ne m'arrête plus !!
Ces week-ends prolongés ne font pas bon ménage avec mon régime !
Toute la famille est à la maison et l'Homme et les enfants ont attaqué le carrelage de la terrasse. Du coup, comme je ne les aide pas vraiment, je les nourris du mieux que je peux. Et j'essaie de leur faire plaisir. Et je me fais plaisir par la même occasion en testant de nouvelles recettes.

Je regarde l'émission de Sophie Dudemaine, "Allo Sophie!" sur TF1.
Sophie Dudemaine est l'auteur du livre "Les cakes de Sophie" qui a dépassé le million d'exemplaires vendus. Elle est aussi la petite-fille du restaurant de la Tour Eiffel. Ses parents étaient restaurateurs aussi. Elle a de qui tenir !


J'ai testé une petite recette qui m'avait l'air plutôt sympathique. Et je confirme, elle est très sympathique. Ce sont les tartelettes coco au lemon curd.



Pour 6 personnes :

Ingrédients :

Pour le lemon curd
50g de beurre
110g de sucre
Le jus et le zeste de 2 citrons
2 œufs
1 jaune d'œuf
Pour les fonds de tarte coco
150g de noix de coco râpée
1 blanc d'œuf
30g de sucre
115g de crème fraîche
10g de beurre fondu


Pour le lemon curd, faites fondre le beurre dans une casserole.
Incorporez le sucre, le jus et le zeste des citrons.
Ajoutez les œufs et fouettez jusqu'à l'épaississement de la préparation.
Laissez refroidir.

Pour les fonds de tarte coco, préchauffez le four à 180°C (Th.6).
Dans un saladier (moi je l'ai fait au robot), mélangez la noix de coco, le blanc d'œuf, le sucre et la crème.

Beurrer le fond de vos petits moules ou de vos caissettes.
Mettez une boule de la préparation dans chaque caissette.
Appuyez avec votre pouce au milieu de chaque boule de pâte pour former un petit fond de tarte.
Mettez au four pendant 15 minutes.

Finition
Démoulez les fonds de tarte coco. Versez une cuillère à café de lemon curd au milieu de chaque fond de tarte coco.
Et dégustez.

Sophie Dudemaine propose ces tartelettes avec un gaspacho de fraises. J'ai testé aussi, c'est excellent bu très frais. Je vous donnerais la recette...

Terrasse

Oui, bon, ça va !!

Moi aussi, je vais aider à carreler la terrasse.
Mais en maillot de bain, et dos au soleil.
Il ne manquerait plus que j'ai les marques du débardeur en plus !!

vendredi 9 mai 2008

Pâtisseries

Pendant que vous n'étiez pas là, j'ai continué de cuisiner pour ma petite famille.
Et bien sûr, par mal de pâtisseries.

Des tartelettes aux pommes ou aux framboises




J'ai testé mes premiers macarons. Délicieux, mais pas très présentables, et la coque était extrêmement fragile. Je n'ai pas dit mon dernier mot...
Ils étaient à la framboise.



J'ai aussi fait, à la demande de Mon Minimoy pour son anniversaire, mon cheese-bavarois à la framboise, mais en parts individuelles cette fois.


Système D : comme je n'ai pas de cercles à pâtisserie individuels, j'ai découpé des bouteilles en plastique d'eau gazeuse pour m'en faire. C'est nickel. Seul problème : ils ne passent pas au four.

Et aujourd'hui, j'ai testé une recette trouvée sur le site "Miamourdises" il y a déjà un certain temps. Elle même l'avait trouvée sur le site "Les carottes sont cuites". (Deux excellents sites sur lesquels je me balade régulièrement).



Voilà ce que ça donne quand on ne lui laisse pas le temps de refroidir...
Sinon, c'est comme ça :


Voici la recette :

Ingrédients
2 pâtes feuilletées pur beurre
450g de fruits rouges surgelés
1 cuillère à soupe de farine
120g de sucre
1 jaune d'oeuf

Recette
Dans une casserole, faire décongeler la moitié des fruits rouges avec le sucre et la farine.
Remuer sur feu doux en attendant que cela bouillonne tout doucement.

Goûter pour vérifier que c’est assez sucré, sans quoi les fruits seront trop acides.
Retirer du feu et ajouter le reste des fruits et laisser tiédir.


Dérouler une pâte dans un plat adapté, verser les fruits rouges dessus et recouvrir de l'autre pâte.
Bien souder les bords humidifiés à l'aide d'une fourchette.
Avec un couteau pointu, marquer six entailles sur la tourte. Dorer au jaune d'oeuf.
Faire cuire 40 minutes au four à 165°.



Vous constaterez que je réalise pas mal de mes desserts à base de framboises.

Ça doit être un fruit que j'adore...