lundi 25 avril 2011

Ma ménagerie

J'étais sur un parking, près d'une des agences où je travaille, en plein centre ville, et là, sorti de nulle part, ou plutôt si, sorti de sous une voiture, un petit rongeur tout mignon est arrivé devant moi.
Il s'est planté devant le bout de mes chaussures, posé sur ses 2 pattes arrière en me regardant.
Avant qu'il ne se dirige vers la route, je me suis penchée et il s'est laissé attraper, avec une facilité qui m'a laissé penser qu'il était apprivoisé.

Que faisait-il là ?

Je l'ai ramené à la maison.

Et depuis, il a fait la connaissance de reste de la ménagerie.
Le chat l'observe, sceptique.
La chienne n'a qu'une envie, lui faire une grosse léchouille.

Quant à nous... on ne peut plus s'en passer.


lundi 11 avril 2011

Erreur de destinataires

Je ne suis pas une grande gaffeuse... mais quand je fais des bourdes, je ne les fais pas à moitié.

Il y a quelques années de cela, dans l'agence bancaire dans laquelle je travaillais...
Le nouveau directeur venait de prendre son poste. Bien sûr, entre nous, ses 12 collaborateurs, les commentaires vont bon train. C'est toujours un moment important dans une équipe, surtout dans une équipe soudée comme nous l'étions alors.

De l'extérieur, on m'interroge.
Je réponds par mail à une ancienne collègue à qui je veux raconter un peu comment se passe l'arrivée du "nouveau". Je fais également mes commentaires... pas très avantageux je le reconnais...
Alors que j'avais presque terminé d'écrire mon mail, une collègue entre dans mon bureau et me demande comment on procède pour créer une liste de diffusion sur notre messagerie un peu archaïque et comment elle doit faire pour envoyer un message à toute l'agence sans avoir à taper les noms de chacun. Je lui montre.
Et dans l'élan... j'envoie mon message avec mes commentaires à toute l'agence.

Et là, gros moment de panique... parce que parmi les personnes de l'agence... il y a la personne concernée... qui n'est autre que mon supérieur hiérarchique.

Je n'ai qu'une solution : parcourir tous les bureaux et supprimer l'objet du délit sur les messageries de chacun. Ce que je fais... j'explique à tous les raisons de mon affolement. Ils suppriment le message. Reste le poste du nouveau chef... absent de son bureau depuis quelques heures, son poste s'est verrouillé automatiquement. Je me glisse donc discrètement dans le bureau de son adjoint, qui lui, vient juste de s'absenter. Non seulement ça me permet de détruire ce fameux message mais ça me permet d'accéder également aux messages du chef.
Quel soulagement !!!
Je pense que ça m'aurait valu quelques soucis cette histoire !!

Attention aux écrits....

Et ce week-end... rebelote.
J'ai écrit à l'Homme un message où je lui exprime mon mal-être, des reproches, des manques, des besoins...
Un message très très personnel.
Un message très très intime.

Et le message, je l'ai envoyé à l'Homme certes mais par erreur sur son adresse professionnelle... adresse à laquelle ont accès ces associés !
Bien sûr, quand je m'en suis rendue compte, c'était trop tard.
Je me sens excessivement mal à l'aise parce que ces associés je les connais.
Je n'avais pas envie de leur déballer mes problèmes, ni ma vie.

Nous étions invités dimanche, j'ai prétexté une migraine pour ne pas y aller et pour ne pas croiser l'un d'eux.

Je n'avais pas besoin de ça pour me remonter le moral, vraiment !
Moi qui reproche à l'Homme de ne pas communiquer... pour le coup... il n'aura pas besoin de parler de ses problèmes de couple à ses associés !

lundi 4 avril 2011

Les plâtres

Rassurez-vous, ils ne sont pas battus. Inutile d'appeler les services sociaux, nous ne les avons pas frappés non plus. Et non, nous n'avons pas à faire à une épidémie.
Les plâtres, c'était un poisson d'avril.

Ils ont tout de même eu le courage d'aller au collège dans cet état, de raconter leurs histoires à leurs camarades mais aussi à leurs professeurs.

L'ado avec son bras droit plâtré n'a pas pu écrire pendant toute la journée. Heureusement, il n'avait vendredi que 2 heures de cours.
Quant à la Brindille, avec sa patte folle et ses béquilles, elle a pu profiter de l'ascenseur du collège toute la journée et elle a pu manger "prio" comme elle dit. C'est à dire qu'elle a pu passer avant tout le monde pour ne pas se retrouver au milieu de la cohue de tous les élèves affamés.

Heureusement, leurs professeurs ont de l'humour...
Je me rappelle de mes années collège... et en y réfléchissant, je me dis que jamais je n'aurais osé faire une telle blague.
Et vous ??

vendredi 1 avril 2011

Plâtre

Y a des jours comme ça...

2 ado plâtrés dans la maison...



Pfffffff.......