Départ à la montagne après le déjeuner... un bon déjeuner...
Après presque 5h00 de route, nous arrivons à Osséja.
Osséja est un village de Cerdagne, frontalier avec l'Espagne, dans les Pyrénées Orientales.
La vue du balcon...
Les voisins.
J'ai l'habitude d'y aller en hiver, pour le ski.
Je n'avais jamais vu cette montagne aussi verte.
Je n'avais jamais vu le jardin avec une herbe aussi haute !
Nous avons repeint la pièce principale, d'une couleur sable...
Ça change de la tapisserie à fleurs... !!
Et pour nous récompenser, nous sommes allées au restaurant du lac d'Osséja.
Nous avons eu un peu peur quand nous avons réservé... il y avait des mouches partout.
Finalement, nous avons été servies par Emilio, le gentil serveur.
Nous avons bien mangé, pour un peu cher, mais ça nous a fait du bien de nous poser un peu.
Nous avons mangé en terrasse, près du lac d'Osséja.
En amuse bouche, une mousse de tomates.
En plat, des gambas,
... avec des frites.
Et en dessert, une crème brûlée pour A.
Et des profiteroles bien copieuses pour moi.
Le lendemain, nous avons fait les dernières retouches.
Et il faut savoir une chose, en altitude, la pression n'est pas ma même.
Et quand on ouvre un pot de peinture, des fois, ça gicle !
On a bien rit.
Je pense qu'A. ne m'en voudra pas d'avoir laissé ce bel oeil bleu...
Le lendemain, nous sommes allées nous balader. Nous sommes passés par Latour de Carol (en Catalan, la Tor de Querol).
Et nous avons traversé la montagne.
La piste rouge de Porté Puymorens, sans neige...
Nous sommes allés faire les soldes au Pas de la Case.
En Catalan, Pas de la Casa, ça veut dire "passage de la maison", désignant la cabane de berger, qui était la seule habitation de l'endroit au début du XXè siècle.
Le pas de la Case est sur la frontière entre Andorre et la France.
Les deux ressources principales de la localité sont le commerce grâce aux magasins détaxésn et les sports d'hiver grâce à la station de ski.
Le lendemain, après un peu de ménage, nous avons chiné dans une brocante à Saillagouse (en Catalan, Sallagosa).
J'ai adoré l'atmosphère dans cette boutique de vieilleries.
Après 4h49 de route, une halte chez nos amis les Suédois, à IKEA ou chez IKEA ou au IKEA.
C'est comme on veut !
Après quelques dépenses forcément indispensables, je suis rentrée à la maison.
J'avais à peine posé ma valise, que l'Homme, la Brindille et le Minimoy m'ont embarquée dans une nouvelle aventure : coucher de soleil au Cap Ferret, surf et campement sauvage.
Le lendemain matin, les hommes sont partis travailler.
J'étais seule avec la Brindille et le Minimoy.
Et pendant que nous rangions tout notre barda, un garde forestier s'est arrêté à notre hauteur. Ils nous a gentiment conseillé de tout plier sous peine d'amende.
Nous avons fini la journée au bord de la piscine. Enfin du repos !
Après presque 5h00 de route, nous arrivons à Osséja.
Osséja est un village de Cerdagne, frontalier avec l'Espagne, dans les Pyrénées Orientales.
La vue du balcon...
Les voisins.
J'ai l'habitude d'y aller en hiver, pour le ski.
Je n'avais jamais vu cette montagne aussi verte.
Je n'avais jamais vu le jardin avec une herbe aussi haute !
Nous avons repeint la pièce principale, d'une couleur sable...
Ça change de la tapisserie à fleurs... !!
Et pour nous récompenser, nous sommes allées au restaurant du lac d'Osséja.
Nous avons eu un peu peur quand nous avons réservé... il y avait des mouches partout.
Finalement, nous avons été servies par Emilio, le gentil serveur.
Nous avons bien mangé, pour un peu cher, mais ça nous a fait du bien de nous poser un peu.
Nous avons mangé en terrasse, près du lac d'Osséja.
En amuse bouche, une mousse de tomates.
En plat, des gambas,
... avec des frites.
Et en dessert, une crème brûlée pour A.
Et des profiteroles bien copieuses pour moi.
Le lendemain, nous avons fait les dernières retouches.
Et il faut savoir une chose, en altitude, la pression n'est pas ma même.
Et quand on ouvre un pot de peinture, des fois, ça gicle !
On a bien rit.
Je pense qu'A. ne m'en voudra pas d'avoir laissé ce bel oeil bleu...
Le lendemain, nous sommes allées nous balader. Nous sommes passés par Latour de Carol (en Catalan, la Tor de Querol).
Et nous avons traversé la montagne.
La piste rouge de Porté Puymorens, sans neige...
Nous sommes allés faire les soldes au Pas de la Case.
En Catalan, Pas de la Casa, ça veut dire "passage de la maison", désignant la cabane de berger, qui était la seule habitation de l'endroit au début du XXè siècle.
Le pas de la Case est sur la frontière entre Andorre et la France.
Les deux ressources principales de la localité sont le commerce grâce aux magasins détaxésn et les sports d'hiver grâce à la station de ski.
Le lendemain, après un peu de ménage, nous avons chiné dans une brocante à Saillagouse (en Catalan, Sallagosa).
J'ai adoré l'atmosphère dans cette boutique de vieilleries.
Après 4h49 de route, une halte chez nos amis les Suédois, à IKEA ou chez IKEA ou au IKEA.
C'est comme on veut !
Après quelques dépenses forcément indispensables, je suis rentrée à la maison.
J'avais à peine posé ma valise, que l'Homme, la Brindille et le Minimoy m'ont embarquée dans une nouvelle aventure : coucher de soleil au Cap Ferret, surf et campement sauvage.
Le lendemain matin, les hommes sont partis travailler.
J'étais seule avec la Brindille et le Minimoy.
Et pendant que nous rangions tout notre barda, un garde forestier s'est arrêté à notre hauteur. Ils nous a gentiment conseillé de tout plier sous peine d'amende.
Nous avons fini la journée au bord de la piscine. Enfin du repos !
1 commentaire:
tiens, moi aussi je rentre de vacances (une petite semaine dans les Landes). Les pyrénées orientales ce sera pour le mois d'août, chez ma maman à Perpignan. tes photos me donnent envie d'y être.
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