lundi 4 avril 2011

Les plâtres

Rassurez-vous, ils ne sont pas battus. Inutile d'appeler les services sociaux, nous ne les avons pas frappés non plus. Et non, nous n'avons pas à faire à une épidémie.
Les plâtres, c'était un poisson d'avril.

Ils ont tout de même eu le courage d'aller au collège dans cet état, de raconter leurs histoires à leurs camarades mais aussi à leurs professeurs.

L'ado avec son bras droit plâtré n'a pas pu écrire pendant toute la journée. Heureusement, il n'avait vendredi que 2 heures de cours.
Quant à la Brindille, avec sa patte folle et ses béquilles, elle a pu profiter de l'ascenseur du collège toute la journée et elle a pu manger "prio" comme elle dit. C'est à dire qu'elle a pu passer avant tout le monde pour ne pas se retrouver au milieu de la cohue de tous les élèves affamés.

Heureusement, leurs professeurs ont de l'humour...
Je me rappelle de mes années collège... et en y réfléchissant, je me dis que jamais je n'aurais osé faire une telle blague.
Et vous ??

4 commentaires:

La Papote a dit…

Non, effectivement, je n'aurais peut-être pas osé...
Mais on se lâchait avec la troupe de théâtre du lycée et comme il y avait nos profs... mais c'était pas pendant les cours, c'était juste après... C'est pas pareil ! ;o)

FD-Labaroline a dit…

Ouaaaarf ! trop fort ! non seulement je n'aurais jamais, ni eu l'idée ni eu le courage de faire une blague pareille mais mes parents enseignants ne m'auraient jamais laissée faire une telle blague à l'institution, même pas en rêve !

Anonyme a dit…

Non seulement, moi je n'aurais pas osé, mes mes parents m'auraient sacrément "avoiné".
A ta place, je craindrais que les profs n'aient mis une étiquette "fumistes" sur les livrets scolaires!

A suivre.......

Laurène a dit…

Non moi je l'aurais pas fait non plus. D'abord parce que papa et maman ne nous auraient pas laissé faire et ensuite parce que les élèves n'auraient pas aimé se faire berner et je m'en serais pris plein la tête !!!
Ils ont eu du courage et moi je suis tombée à pieds joints dans le piège.