J'ai beaucoup parlé de bouffe... mais pas tellement de mes convives. J'ai été ravie de les recevoir. L'année dernière, j'avais fait un petit repas avec quelques amis et collègues, mais quand tout le monde est parti, j'avais un nœud au ventre. Pourquoi ? Parce que à quelques jours des élections présidentielles, certains d'entre eux ont monopolisé la conversation et ont parlé politique alors qu'ils savaient pertinemment que nous n'étions pas du même avis. C'était MON anniversaire et j'aurais aimé qu'ils soient un peu plus respectueux avec moi et qu'ils s'abstiennent de provoquer des polémiques. Bref ! Les personnes concernées, je ne les ai pas réinvitées. Ce sont pourtant des personnes que j'apprécie beaucoup et avec qui j'ai plaisir à passer du temps, mais qui m'ont un peu déçues ce jour là.
Et samedi, il en a été tout autrement.
Quand tout le monde est parti, je n'avais pas de nœud au ventre... juste une pêche d'enfer et je regrettais qu'ils soient partis si tôt ! J'étais chaude pour danser jusqu'au bout de la nuit !
Tout le monde s'est bien entendu.
Tout le monde était détendu.
Et à part ma pomme qui a éclaté un pneu en voulant arriver plus vite, aucun incident n'a été à déplorer.
Je pense que les enfants se sont eux aussi éclatés.
Pourquoi faut-il toujours attendre des occasions pour inviter les gens qu'on apprécie ?
Et samedi, il en a été tout autrement.
Quand tout le monde est parti, je n'avais pas de nœud au ventre... juste une pêche d'enfer et je regrettais qu'ils soient partis si tôt ! J'étais chaude pour danser jusqu'au bout de la nuit !
Tout le monde s'est bien entendu.
Tout le monde était détendu.
Et à part ma pomme qui a éclaté un pneu en voulant arriver plus vite, aucun incident n'a été à déplorer.
Je pense que les enfants se sont eux aussi éclatés.
Pourquoi faut-il toujours attendre des occasions pour inviter les gens qu'on apprécie ?
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