A force de dire que je ne veux pas laisser mon job.
A force de dire que je n'ai pas envie de voir revenir la femme que je remplace.
A force d'espérer je ne sais quoi pour changer la suite des événements...
A force de me dire que je pourrais lui crever les pneus.
A force de dire qu'elle pourrait tomber dans l'escalier...
A force...
Et ben, elle s'est cassé un orteil. Elle ne peut pas revenir à la date prévue.
Ben c'est balot ça !!
Je dois rester un peu plus.
J'ai dû lui jeter un sort.
5 commentaires:
C'est moi ! Je lui ai jeté un sort avec une poupée vaudou.
Non, ne me remercie pas, c'est cadeau ;0)
J'aime ce style de l'anaphore.
Tu ne m'aurais pas jeté un sort? Je grossis et google analitycs m'a abandonné.
En tout cas félicitations pour l'anaphore et l'orteil tragique.
Tu vois, on y pensait tous tellement fort que ça a fini par marcher !!!
Cool ! On va peut-être avoir le temps de se refaire un déjeuner avant que tu ne partes de ton poste ?
ben ca alors !
Si je fais comme toi, si j'y pense très très fort, je pourrai faire muter quelqu'un et ne plus avoir à travailler avec lui, tu crois???
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