vendredi 9 octobre 2009

Et un orteil, un !

A force de dire que je ne veux pas laisser mon job.

A force de dire que je n'ai pas envie de voir revenir la femme que je remplace.
A force d'espérer je ne sais quoi pour changer la suite des événements...
A force de me dire que je pourrais lui crever les pneus.
A force de dire qu'elle pourrait tomber dans l'escalier...

A force...

Et ben, elle s'est cassé un orteil. Elle ne peut pas revenir à la date prévue.
Ben c'est balot ça !!

Je dois rester un peu plus.

J'ai dû lui jeter un sort.

5 commentaires:

Philémon a dit…

C'est moi ! Je lui ai jeté un sort avec une poupée vaudou.
Non, ne me remercie pas, c'est cadeau ;0)

dusportmaispasque a dit…

J'aime ce style de l'anaphore.
Tu ne m'aurais pas jeté un sort? Je grossis et google analitycs m'a abandonné.
En tout cas félicitations pour l'anaphore et l'orteil tragique.

La Papote a dit…

Tu vois, on y pensait tous tellement fort que ça a fini par marcher !!!
Cool ! On va peut-être avoir le temps de se refaire un déjeuner avant que tu ne partes de ton poste ?

Laurène a dit…

ben ca alors !

Nadji a dit…

Si je fais comme toi, si j'y pense très très fort, je pourrai faire muter quelqu'un et ne plus avoir à travailler avec lui, tu crois???