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lundi 6 décembre 2010

Riche week-end

Un samedi victorieux au basket. L'équipe de mon ado est plutôt bien classée... et le seul match qu'ils ont perdu depuis le début de la saison... je n'y étais pas.


Après le match, une autre maman m'a invitée à boire un chocolat chaud chez elle.

Elle voulait me faire goûter le chocolat arôme orange de Monbana. C'est délicieux.
C'est un véritable moulin à paroles mais elle est très sympa et on a plein de points communs : elle adore cuisiner, elle aime faire de la photo... on pourrait s'entendre.
Par contre, c'est une grande sportive (elle est prof de sport) et elle court beaucoup... et là... elle risque de continuer à courir sans moi.


Dimanche soir, direction le concert de Christophe Maé avec ma Brindille.
L'arrivée a été... tendue.
On m'avait dit de me présenter une 1/2 heure avant le spectacle pour récupérer mes invitations... nous sommes parties bien avant... mais ça, c'était sans compter l'heure que nous allions passer dans les embouteillages... parce que évidemment, j'ai pris le trajet qu'il faut éviter le samedi soir à 19h00 pour rentrer dans Bordeaux.

Après, il a fallu trouver une place pour se garer. Quel stress !! Je peux vous dire que j'étais très contentes ce soir là d'avoir une toute petite voiture sans coffre vue la place que nous avons trouvée. Il devait rester 2 centimètres devant et 3 derrière. Heureusement que je suis la reine des créneaux... même stressée...

Nous avons couru jusqu'à la salle.

Arrivée au guichet des invitations, j'explique que 2 places me sont réservées sur la liste de la production. La jeune femme repasse les noms deux fois... sans me trouver. J'ai senti ma brindille se crisper. Est-ce qu'on avait fait tout ça pour se faire refouler à l'entrée ??? Finalement, j'ai présenté le mail que m'a envoyé la société de production et finalement, elle m'a tendu deux invitations sur les gradins.

Direction l'entrée. Dans 3 minutes, le spectacle commence.

En haut des escaliers, on contrôle mes billets, on me demande d'ouvrir mon sac et là, on m'annonce que je ne peux pas rentrer avec mon appareil photos. On me l'a donc confisqué ! Ils ne tolèrent que les tous petits appareils compacts et les i-phone... ceci dit, je suis persuadée que certains petits appareils sont tout aussi performants que le mien.
Du coup, vous m'excuserez pour la qualité médiocre des photos. Mon téléphone n'est pas des plus performants.

Enfin, nous avons été accompagnées jusqu'à nos sièges. Nous sommes super bien placées. C'est cool.
Enfin, la tension va pouvoir retomber. Nous y sommes.

Christophe Maé est débordant d'énergie. Il doit perdre 3 kilos à chaque concert.



Il est assez critiqué. C'est un artiste qu'on aime ou qu'on déteste, avec son style bien à lui, sa façon très personnelle de danser et sa voix reconnaissable entre mille. Sa musique est gaie et entraînante. J'ai adoré.

Je connaissais son dernier album. Sur scène, c'est beaucoup plus "reggae". Ce n'est pas pour rien qu'une de ses chansons "mon père spirituel" rend hommage à Bob Marley.
Lui, son groupe d'excellents musiciens et ses choristes ont l'air très complices.




Et j'ai aimé aussi sa façon de communiquer avec le public. Très souvent pendant le spectacle, la salle était rallumée.


Ce fut donc une super soirée partagée avec ma Belle demoiselle à moi.
Des 2, on ne savait plus qui était l'ado par moment.

Ce soir, elle a accroché les 3 posters de sa nouvelle idole dans sa chambre... moi j'ai pas osé en mettre un dans la mienne ;-)



Et ce matin, j'ai passé un moment beaucoup plus calme et tendre. J'ai fait du baby-sitting chez mes voisins. Ce petit M&M's est adorable.


lundi 20 septembre 2010

Canoë sur la Leyre



20km sur la Leyre, 20 km à ramer.
Aujourd'hui, je ne sens plus mes bras !


Pour ceux qui ne connaissent pas la régions, la Leyre est un fleuve côtier qui prend sa source dans les Landes pour déboucher dans le bassin d'Arcachon.

En fin d'après-midi, nous avons bien mérité une petite promenade près des cabanes de pêcheurs de Biganos.







dimanche 14 mars 2010

Basket et théâtre

Mon samedi a été consacré à mes deux pré-ado.


Tout d'abord, un match de basket... que nous avons perdu. Si, si, je vous assure ;-)



Pourtant mon pré-ado s'est donné à fond pour une fois. Il a épaté tout le monde, mais ça n'a pas suffit parce que dans son équipe, il y en a qui ferait mieux de se mettre à la danse classique. Je pense qu'ils seraient meilleurs.
Et parmi eux, il y a "tuyau", le figurant de l'équipe. Il ne sert à rien, si ce n'est que quand il est sur le terrain, on a l'impression qu'ils ne jouent plus qu'à 4 joueurs. Il est statique. Il est mou. Quand le ballon lui arrive malencontreusement entre les mains, il le renvoie aussi sec comme s'il s'agissait d'une bombe qui allait exploser.

A la fin du match, en gentille maman que je suis, je lui propose de le ramener. Je n'ai qu'une vague réponse.

Quand nous nous levons pour partir, il me dit "Alors, vous me ramenez ?".
Pas de "S'il vous plaît" ou même un "Est-ce que vous me ramenez ?" non.
Bon, je ne relève pas.

Au moment de monter dans la voiture, il le dit "il faut que je m'arrête à la presse. j'en ai pour 5 minutes".
Pas de "Est-ce que ça vous dérange de m'arrêter au magasin de journaux ?". Non, pas ça.
Là, ça commence à m'agacer un peu, mais je ne dis rien.

En guise de magazines, il a acheté soit des cigarettes, soit des bonbons.
Je ne l'ai jamais vu fumer, en revanche, il a en permanence des bonbons plein les poches, qu'il ne partage jamais avec ses potes d'ailleurs. Et quand on voit l'état de ses dents, je serais lui, j'arrêterai rapidement...

Bref, nous repartons.
Là il me dit " C'est super compliqué pour aller chez moi, c'est toujours tout droit".
En plus, il est drôle !

Nous arrivons chez lui et là, j'ai à peine le temps de dire "bonne fin de journée", je me retourne, il est descendu de la voiture et n'a dit ni merci, ni au revoir, ni merde.

Je suis sur le c...
Je ne m'en suis toujours pas remise.
Ce pauvre garçon, qui n'est déjà pas aidé par la nature, n'a même pas un côté gentil et poli pour se rattraper.

La prochaine fois que nous allons au basket, même s'il y a 300 km à faire pour aller jouer, il peut les faire en stop !!

Ils ne lui ont pas appris les bases ses parents ????


Dans la soirée, je suis allée au théâtre avec ma Brindille. J'ai aussi emmené 2 gamines, autrement plus polies que le "tuyau".
Nous sommes allées voir "Le médecin malgré lui "par le Théâtre JOB. C'est une pièce de 2009 mise en scène par Georges Berdot.

Pour ceux qui ne se souviennent plus de cette pièce qu'ils ont dû étudier au collège, voici un petit rappel : L'épouse de Sganarelle, désireuse de se venger des coups que lui donne son époux,

assure qu'il est un très grand médecin,


mais qu'il ne le reconnaît que lorsqu'il est frappé à son tour. Il se trouve qu'un grand bourgeois

recherche celui qui pourra guérir sa fille devenue muette à quelques jours de son mariage avec un homme très riche, mais qu'elle n'aime pas.


La mise en scène de George Bedot a su mettre en avant dans les situations burlesques écrites par Molière quelques uns de nos problèmes sociaux d'aujourd'hui : les femmes battues , les mariages arrangés, l'alcoolisme...



On ne s'ennuie pas. On sursaute face à des anachronismes énormes notamment quand Superman, Batman ou Wonder-woman apparaissent sur scène.



C'était un spectacle divertissant.





lundi 8 février 2010

47 à 82

Pour la première fois depuis que mon Ado s'est mis au Basket, c'est à dire depuis le mois de septembre, nous avons gagné un match !


Je dis "nous" parce que je m'investis presque autant que lui. Certes, je n'ai pas encore enfilé le maillot et le short, mais je fais des kilomètres chaque samedi pour assister à ses matches. Je reste à me geler les fesses sur les gradins pour les encourager même quand dès le 2ème quart temps, on sait que c'est perdu. J'en profite pour remercier mon Ado, par ces temps pluvieux et froids, d'avoir opté pour le basket plutôt que le foot ou le rugby. Vivent les sports en salle !

Quoi qu'il en soit, nous avons ENFIN gagné un match, et bien gagné ! J'ai immortalisé les scores. Une fois n'étant pas coutume.

Pour ceux qui ne suivraient pas, les visiteurs, cette fois-ci, c'était nous !

Il faut dire que cette équipe est très... comment dire... hétéroclite. Entre les très grands qui ont peur du ballon et qui s'en débarrasse aussitôt qu'ils l'ont entre les mains, ou ceux qui font du basket parce que maman veut qu'ils fassent du basket. Et eux, il n'aiment pas ça, et ça se voit.
Entre les petits nerveux, super rapides qui oublient qu'ils ne sont pas tous seuls à jouer. Entre ceux qui faisaient il y a quelques mois encore du rugby, et qui du coup ont tendance à plaquer tout ce qui bouge... Bref, tout ça mélangé donne une équipe qui n'est pas toujours en bonne cohésion.
Pourtant, je crois que cette première victoire les a un peu rapprochés et leur a montré que eux aussi pouvaient gagner.
J'espère que c'est le début d'une longue série !

Pour ce qui est des parents, c'est pareil. Il y les timides qui assistent au match, silencieux, seuls sur les gradins. Il y a les "lourdeaux", gentils, mais lourds, avec un humour à répétition... un peu pénible. Je vous donne un exemple, son fils marque un panier. Il s'écrie : "Bravo pour ce "réussissement" !!!" Ce n'est même pas drôle la première fois, mais on sourit quand même. Du coup, il le ressort une fois, deux fois, trois fois... Et là, on fait comme si on ne l'entendait plus... mais il ne se lasse pas. Et des blagues dans le genre, il en a plein !
Heureusement, il y a aussi les parents comme moi, qui sont là pour s'éclater, avec qui on jette des mauvais sort aux joueurs adverses quand ils doivent tirer pour des lancers francs. Des parents avec qui on sifflet à chaque panier. Ce sont nous qui les abreuvons de coca et de bonbons quand ils le méritent. C'est nous qui allons les motiver entre les quarts temps en leur rappelant que nous croyons en eux... Bref, de vrais super coaches.

J'avoue que je me suis prise au jeu et je commence à apprécier de regarder un match de basket. Je m'enflamme en tant que supporter et je le vis intensément. Niveau Minimes-débutants, ce n'est pas encore très technique comme jeu, mais ça reste quand même très intéressants.

samedi 2 mai 2009

Quand on perd la boussole...

Ma Fée Clochette est à la maison pour quelques jours.
Et avec elle, d'autres enfants sont venus pour une course d'orientation, une C.O. pour les pros, dans un parc boisé des environs.

Ca a galopé tout l'après-midi, à la recherche des balises sournoises, cachées derrière les branches...

Ah tiens, en voilà une.

En général, elles sont beaucoup moins visibles.

Les plus petits suivent, tant bien que mal.
Parfois, les sentiers sont moins praticables...

Et parfois... zut, on a perdu les grands !

J'ai eu beaucoup de plaisir à retrouver N., une autre maman pour cette occasion. Nous marchions derrière les deux petits vélos des enfants. Nous parlions de choses et d'autres. Les petits vélos ont accéléré pour rattraper les coureurs. Nous avons accéléré le pas.

Nous bavardions et je disais que ça serait bien que l'Homme m'organise une chasse au trésor de ce genre dans ce parc. Ça pourrait être un truc sympa à faire avec mes copines pour mon anniversaire par exemple.
Et blablabla...
Et blablabla...
...
Et puis on relève la tête, et là... plus de coureurs à l'horizon et surtout... plus de petits vélos.
Devant nous, une intersection. Ont-ils pris à droite ou à gauche ?
On demande à une dame si elle n'a pas vu des coureurs et deux enfants en vélo. Elle nous dit que oui, sur la gauche. On y va. On rencontre effectivement les coureurs et les vélos mais ce ne sont pas les nôtres. On fait demi tour pour prendre l'autre chemin. On marche. On demande à quelqu'un d'autre.

Bon, on se dit que les enfants doivent être en sécurité avec les coureurs. Il y avait un coach avec chacun des groupes. Il s'est sont forcément occupé des petits vélos qui le suivaient. Donc tout va bien. On va les retrouver au point de ralliement... sauf que... le point de ralliement... on y va comment ? Tout le monde sait que le sens de l'orientation d'une femme est particulier. Le mien est complètement inexistant. Celui de N. n'est vraisemblablement pas mieux. Donc, on peut dire que nous sommes perdues. Les coureurs et les coaches eux ont des boussoles et des cartes pour se repérer dans ce labyrinthe de sentiers, mais nous, nous n'avons rien. Ceci dit, encore faut-il savoir se servir d'une boussole et d'une carte. je ne suis même pas sûre qu'elles nous auraient été d'une grande utilité.
Et là, N. a eu la réflexion que je ne suis pas prête d'oublier :
"Sinon, pour les anniversaires, y a un truc qui est bien aussi, c'est le hammam.".
Vues les circonstances, cette réflexion m'a fait beaucoup rire. Et effectivement, un après-midi détente au hammam est peut-être plus approprié (quoi que moins sportif) pour des nanas comme nous ;-)

Quand on s'est demandé par où on sentait bien le chemin du retour, on était d'accord sur la direction. On a hésité quelques secondes à aller dans le sens inverse... mais non, on a suivi notre instinct. Et ma foi, il n'a pas trop mal fait les choses puisque nous avons fini par croiser un des participants qui nous a confirmé que notre direction étant la bonne. Nous sommes donc arrivées saines et sauves au point de ralliement, bien plus tôt que nos deux petits vélos qui ont fait quelques détours pour trouver les balises supplémentaires.

On aura eu des émotions nous aussi aujourd'hui.

Pour les enfants, il y a aussi des jeux pour s'occuper entre les courses.


C'est tout en douceur que s'est terminée cette journée... La Fée Clochette s'endort tranquillement, au son de la voix de sa cousine qui raconte la dernière histoire de Martine...

... blottie au creux de toute sa ménagerie.

samedi 6 septembre 2008

Hapkido et Aïkido

Bon !

A tous ceux qui pensent que mon doigt a ripé sur mon clavier et que j'ai malencontreusement remplacé le " ï " par un " p " et que par conséquent j'ai écrit Hapkido au lieu Aïkido, ET BEN NON !!

L'Aïkido, tout le monde connaît. C'est l'art martial qui permet de se défendre en utilisant la force de l'autre. C'est répondre à la violence par la non-violence.

Et l'Hapkido, c'est quoi ??

Hapkido, ça veut dire "La voie des Energies Unifiées".

C'est un art martial coréen, une self-défense enseignée à la police coréenne.
Il combine des techniques de jambe et de poing. Cet enseignement prépare à tous les combats : corps à corps, armes blanches...

Et si vous voulez tout savoir sur le Hapkido, un site est entièrement consacré à ce sport. Cliquez-.

Je suis contente de vous avoir appris quelque chose aujourd'hui ;-)

vendredi 5 septembre 2008

Activités extra-scolaires

Difficile de choisir des activités extra-scolaires. Et encore plus au cours d'un forum où des représentants de toutes les activités sont représentées dans une même salle. Un brouhaha d'enfer, une cohue impressionnante...
Depuis la danse classique, moderne, le judo, le Tae Kwon Do, le Hap ki do, le Tai Chi Chuan, le théâtre, le football, le rugby, le basket-ball, la guitare, le piano, le tennis, le catéchisme, le dessin, le chant... Bref. Difficile de se décider. Et encore plus difficile de se décider quand les deux activités qui nous tiennent le plus à cœur sont le même jour à la même heure. C'est ce qui est arrivé à ma Brindille. Elle fait de la danse depuis qu'elle est toute petite. Et ma foi, je trouve qu'elle ne se débrouille pas si mal. Mais ça fait déjà quelques temps qu'elle me dit qu'elle a envie de faire du théâtre. Malheureusement, il lui a fallu faire un choix. Pour elle, ce sera donc Tae Kwon Do et Théâtre. Ça lui a déchiré le cœur d'aller dire à Pascale, notre ancienne prof de danse qu'elle ne reprendrait pas cette année. Tellement bien qu'elle a fondu en larmes. Pascale l'a rassurée en lui disant que si elle avait envie d'essayer le théâtre, il fallait qu'elle le fasse. Et aussi qu'elle pourrait revenir quand elle voudrait.

Quant à mon Minimoy, comme il n'y avait pas de hand-ball, il a décidé de continuer le tennis.

J'espère ne pas m'être trompée. J'espère que je ne les ai pas trop brusqués dans leur choix. Et j'espère que je ne les ai pas influencés dans leur choix, que ce sont bine LEUR choix.

vendredi 15 août 2008

Encore une Médaille d'Or

Bravo aux épéistes français qui ont remporté le titre olympique face à la Pologne.

jeudi 14 août 2008

Médaille d'Or

Après Steeve Guénot qui a décroché la première médaille française des jeux de Pékin en lutte gréco-romaine.
22 ans.


Aujourd'hui, 25 ans, pas de vague (ah, elle est bonne !!) et champion olympique !
Bravo Alain Bernard.
Il est le premier français champion olympique sur 100 mètre nage libre.



Avec ses 2 médailles d'or, 7 médailles d'argent, 6 médailles de bronze, la France se retrouve à la neuvième place du classement.

mardi 5 août 2008

100 km suite...

Si vous voulez plus de détails sur cette journée, allez , allez lire le récit passionnant d'Alex Cessif.
Il y a également des photos...

mardi 29 juillet 2008

100 km


L'Homme et Alex Cessif (les plus courageux) en rollers, Fab, les M&M's et moi en vélo, nous avons parcouru les 100 kilomètres qui séparent St Médard en Jalles de Lacanau, aller-retour, pique-nique et boissons dans les sacoches ou les sacs à dos.


L'aller fut plutôt sympa. La perspective d'un pique nique à l'ombre, d'une glace en terrasse et d'un moment de détente sur le sable à la plage me motivaient bien.
La faim nous tenaillait quand nous avons posé nos fesses sur l'herbe.
Nous sommes restés un peu plus d'une heure sur la plage. Deux filles seulement ont réussi à se baigner intégralement. En ce qui me concerne, je n'ai même pas essayé d'y mettre un orteil. Je me connais trop bien !!

Nous avons mangé une glace avant de reprendre la route.
Le retour fut plus difficile en ce qui me concerne en tout cas.
Non pas parce que je fatiguais parce que le rythme me convenait tout à fait, mais parce que cette route est très monotone. Un ruban, tout droit entre les pins... C'est long, trop long.

Un évènement est venu nous sortir de nos rêveries en chemin.
Une bagarre entre un jeune en scooter (qui roulait trop vite sur la piste cyclable) et un groupe de gens, un peu éméchés, dans une salle des fêtes au bord de la piste. Le jeune a pris quelques coups
qui n'étaient pas forcément indispensables. Du coup, il est allé chercher son père et ils sont revenus ensemble, le jeune armé d'une batte de base-ball, ce qui n'était pas forcément indispensable non plus. Le plus dramatique dans cette histoire, c'est que le père cautionne le fait que son fils décide de régler ses comptes avec une arme. Drôle d'éducation !
Nous ne savons pas comment s'est terminée cette histoire, parce que nous avons repris la route avant que ça ne dégénère trop.
Après tout, cela ne nous regardait pas.

Nous sommes arrivés sans autre problème excepté que j'ai posé mon pied là où un chien était passé avant. Ce n'est pas grave, on dit que ça porte bonheur.

Le lendemain, les muscles de mes cuisses m'ont rappelé que je les avais un peu malmenés.

Et si vous voulez lire notre péripéties de l'année dernière. Bordeaux-Lacanau en vélo et rollers, juste l'Homme et moi, c'est .




samedi 12 juillet 2008

80,4 km dans les jambes

80,4 km de vélo.
Et je tiens au 400 mètres parce que ces derniers mètres ont été très difficiles.
L'Homme, Bopapa et moi même avons parcouru la piste cyclable Roger Lapébie de Sadirac à Sauveterre de Guyenne : 40 km à l'aller, 40 au retour, avec des descentes... et des côtes.


A l'aller, j'ai suivi sans problème.
Nous sommes repassés dans le tunnel de La Sauve, là où nous avions vécu une expérience traumatisante avec le Minimoy et ma Brindille. Souvenez-vous en cliquant ici.
C'était beaucoup plus facile aujourd'hui parce que le tunnel était éclairé.


Nous avons fini par arriver à Sauveterre de Guyenne, un très joli village.

Et histoire de reprendre des forces, nous sommes allés manger au restaurant. Belmaman nous a rejoint avec le Minimoy et la Brindille.
Nous avons mangé dans un restaurant sous les arcades qui entourent la place principale : le restaurant "lesarcades".


Nous avons bien mangé... j'ai largement repris toutes les calories que j'avais perdues en venant !!

Et devinez ce que j'ai pris comme dessert...
Des profiteroles ??
Et non !
Un chocolat liégeois.

Avant :

Après :
Je ne sais pas si c'est parce que j'avais beaucoup (trop) mangé, ou bien parce que ça montait plus dans le sens du retour, mais j'ai peiné !
Heureusement, l'Homme dans sa grande bonté, m'a poussée de temps en temps, histoire de me redonner un peu d'élan.
Et en arrivant à la maison, après une bonne douche, j'ai eu droit à un massage des mollets et des cuisses. Après l'effort, le réconfort !

(Seules les photos du restaurant sont les miennes. Les autres ont été trouvées sur Internet... parce que pendant le trajet, je n'étais pas en balade. C'était du sport, du vrai, sans pause ;-) )