Après une belle journée ensoleillée et bien chaude (non, non, je ne me plains pas !!), nous sommes partis faire une petite randonnée à la fraîcheur du soir. Nous avons emprunté la piste cyclable, qui n'est autre qu'une ancienne voie ferrée, la voie Roger Lapébie. Et tout près de l'abbaye de La Sauve Majeure (patrimoine mondial reconnu par l'UNESCO, et oui !) nous avons dû traverser LE tunnel de La Sauve Majeure.
Et hier soir, un panneau à l'entrée du tunnel nous prévenait qu'il n'y avait aucun éclairage. Et bien autant vous dire que ça a été une belle montée d'adrénaline. Déjà à l'allée, avec papa et un copain, deux hommes donc, on ne se sentait déjà pas trop en sécurité, mais alors au retour, seule avec les enfants, je ne faisais pas trop la maligne, mais j'ai essayé de ne pas trop le montrer, déjà que La Princesse était en larmes... Et oui, parce qu'après le pique-nique, les hommes ont voulu accélérer un peu et ont donc abandonné les trois boulets (comprenez moi et les enfants) pour qu'ils regagnent seuls la voiture.
Je ne me sens pas hyper à l'aise sur des rollers en temps normal, alors dans le noir complet, avec des flaques d'eau hyper glissantes mais qu'on ne peut pas éviter puisqu'on ne les voit pas, plein de bruits inquiétants qui viennent de tous les côtés, un écho lugubre et deux enfants qui s'arrêtent en disant "Je ne vais pas plus loin. J'attends papa."
Et bien, c'est pas facile !!!
Mais nous y sommes arrivés. J'ai proposé de faire une chenille : moi devant avec mon téléphone portable en guise de lampe de poche. Autant dire que ça ou rien, c'était pareil. Le fils au milieu et la princesse à la fin de la chenille, qui se laissait traîner en reniflant.
Et pour le coup, hier soir, l'expression "Voir le bout du tunnel" prenait tout son sens.
Nous étions très fier de nous.
Nous sommes arrivés sans autres soucis jusqu'à la voiture. Sous les arbres, les oiseaux qu'on devait déranger, passaient au ras de nos têtes en nous frôlant de leurs ailes. Je pense qu'ils le faisaient exprès !
Nous sommes arrivés à la maison juste à temps pour admirer le feu d'artifice.
Et hier soir, un panneau à l'entrée du tunnel nous prévenait qu'il n'y avait aucun éclairage. Et bien autant vous dire que ça a été une belle montée d'adrénaline. Déjà à l'allée, avec papa et un copain, deux hommes donc, on ne se sentait déjà pas trop en sécurité, mais alors au retour, seule avec les enfants, je ne faisais pas trop la maligne, mais j'ai essayé de ne pas trop le montrer, déjà que La Princesse était en larmes... Et oui, parce qu'après le pique-nique, les hommes ont voulu accélérer un peu et ont donc abandonné les trois boulets (comprenez moi et les enfants) pour qu'ils regagnent seuls la voiture.
Je ne me sens pas hyper à l'aise sur des rollers en temps normal, alors dans le noir complet, avec des flaques d'eau hyper glissantes mais qu'on ne peut pas éviter puisqu'on ne les voit pas, plein de bruits inquiétants qui viennent de tous les côtés, un écho lugubre et deux enfants qui s'arrêtent en disant "Je ne vais pas plus loin. J'attends papa."
Et bien, c'est pas facile !!!
Mais nous y sommes arrivés. J'ai proposé de faire une chenille : moi devant avec mon téléphone portable en guise de lampe de poche. Autant dire que ça ou rien, c'était pareil. Le fils au milieu et la princesse à la fin de la chenille, qui se laissait traîner en reniflant.
Et pour le coup, hier soir, l'expression "Voir le bout du tunnel" prenait tout son sens.
Nous étions très fier de nous.
Nous sommes arrivés sans autres soucis jusqu'à la voiture. Sous les arbres, les oiseaux qu'on devait déranger, passaient au ras de nos têtes en nous frôlant de leurs ailes. Je pense qu'ils le faisaient exprès !
Nous sommes arrivés à la maison juste à temps pour admirer le feu d'artifice.
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