Alors, où j'en suis de l'inscription de mon fils au collège ?
La demande de dérogation a été faite, et il semblerait que mon "piston" n'est pas été très efficace puisqu'elle est revenue refusée !
Donc, retour à la case départ.
Lundi, je suis allée faire le forcing au collège et essayer de franchir le barrage des secrétaires pour voir le Principal.
"C'est à quel sujet ?"
"Le Principal est débordé aujourd'hui, il ne pourra pas vous recevoir."
"C'est quoi votre nom ?"
Et M. Le Principal est entré dans le bureau... peut-être alerté par le ton qui montait. J'ai ENFIN pu parler avec lui sous les yeux rageurs de la secrétaire.
M. Le Principal me conseille donc de faire appel.
Il y a déjà 220 inscrits en sixième dans son établissement. Il avait dit qu'il accepterait 4 élèves de plus sur dérogation. Pourquoi 224 élèves ?? Parce que 224, ça fait 8 classes de 28 élèves. Il y a eu 7 demandes de dérogation, il a ses 4 enfants supplémentaires... mais bon, peut-être qu'un de plus... un aussi bon élément que mon fils... éventuellement... comme je suis assez sympathique... pourquoi pas.
Donc, je retente une deuxième demande de dérogation.
Et au cas où l'inspection académique ne comprendrait pas bien, ainsi que l'Inspecteur d'Académie lui même à qui j'ai écrit personnellement, j'ai aussi écrit au Rectorat, au Ministère de l'Education Nationale, au Député de ma circonscription, et tant que j'y étais, au Président de la République. Je n'étais plus à un timbre près.
On m'a suggéré d'écrire aussi à la Reine Elisabeth... mais j'hésite. Est-ce qu'elle va vraiment pouvoir interférer en ma faveur ?
C'est vrai quand même que je trouve complètement absurde d'être obligée d'inscrire mon fils dans un collège privé du centre de Bordeaux, avec les contraintes pénibles que cela implique : levée aux aurores, départ de la maison chaque matin à 7h00, une heure de trajet (bus ou voiture, tramway et à pied pour finir), une heure de trajet le soir après les cours. Sans parler du coût puisque qui dit privé dit porte-monnaie.
Tout ça, alors que j'ai un bus de ramassage scolaire qui passe en bas de chez moi.
Mais j'habite du mauvais côté de la route.
Je suis en limite de secteur.
Je trouve ça aberrant, absurde.
On parle d'assouplissement de la carte scolaire.
Avec de nouveaux critères tels que par exemple "habiter en limite de secteur".
Mais ma demande de dérogation est refusée.
A qui profite donc cette réforme ?
C'est pas facile !!
La demande de dérogation a été faite, et il semblerait que mon "piston" n'est pas été très efficace puisqu'elle est revenue refusée !
Donc, retour à la case départ.
Lundi, je suis allée faire le forcing au collège et essayer de franchir le barrage des secrétaires pour voir le Principal.
"C'est à quel sujet ?"
"Le Principal est débordé aujourd'hui, il ne pourra pas vous recevoir."
"C'est quoi votre nom ?"
Et M. Le Principal est entré dans le bureau... peut-être alerté par le ton qui montait. J'ai ENFIN pu parler avec lui sous les yeux rageurs de la secrétaire.
M. Le Principal me conseille donc de faire appel.
Il y a déjà 220 inscrits en sixième dans son établissement. Il avait dit qu'il accepterait 4 élèves de plus sur dérogation. Pourquoi 224 élèves ?? Parce que 224, ça fait 8 classes de 28 élèves. Il y a eu 7 demandes de dérogation, il a ses 4 enfants supplémentaires... mais bon, peut-être qu'un de plus... un aussi bon élément que mon fils... éventuellement... comme je suis assez sympathique... pourquoi pas.
Donc, je retente une deuxième demande de dérogation.
Et au cas où l'inspection académique ne comprendrait pas bien, ainsi que l'Inspecteur d'Académie lui même à qui j'ai écrit personnellement, j'ai aussi écrit au Rectorat, au Ministère de l'Education Nationale, au Député de ma circonscription, et tant que j'y étais, au Président de la République. Je n'étais plus à un timbre près.
On m'a suggéré d'écrire aussi à la Reine Elisabeth... mais j'hésite. Est-ce qu'elle va vraiment pouvoir interférer en ma faveur ?
C'est vrai quand même que je trouve complètement absurde d'être obligée d'inscrire mon fils dans un collège privé du centre de Bordeaux, avec les contraintes pénibles que cela implique : levée aux aurores, départ de la maison chaque matin à 7h00, une heure de trajet (bus ou voiture, tramway et à pied pour finir), une heure de trajet le soir après les cours. Sans parler du coût puisque qui dit privé dit porte-monnaie.
Tout ça, alors que j'ai un bus de ramassage scolaire qui passe en bas de chez moi.
Mais j'habite du mauvais côté de la route.
Je suis en limite de secteur.
Je trouve ça aberrant, absurde.
On parle d'assouplissement de la carte scolaire.
Avec de nouveaux critères tels que par exemple "habiter en limite de secteur".
Mais ma demande de dérogation est refusée.
A qui profite donc cette réforme ?
C'est pas facile !!
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